L’ultime équipe
Chapitre un Bill
pour le fond sonere sa rend quand meme mieux
https://www.youtube.com/watch?v=n6Ns40rh4uQAccroupit derrière sa maigre barricade de bois Bill laissait allez les coups de feu sans plus de souci. Il remit Johny son fidèle six coups à sa ceinture. Il sortit une feuille et de l’herbe et commençât à se rouler une cigarette pendant qu'une pluie de plomb ne cessait de venir s’abattre sur la barricade de bois. Bill était un homme brun d’un mètre quatre-vingt environ. Son visage de trentenaires avait des traits endurcis par l’ouest sauvage et une légère barbe au poil dru recouvrai son menton. Il portait un grand chapeau blanc capable de le protéger des durs rayons du soleil qui tape dans le désert de l’ouest. Il était vêtu d’un foulard rouge pendant sur sa chemise à carreau rouge et blanc, son pantalon brun était rentré dans ses bottes de cuirs aux éperons d’or.
Tout en fumant sa cigarette Bill récapitulait son plan. Il était arrivé dans cette putin de ville il y’as deux jours. Par chance personne n’avait reconnue Bill le criminel au nom de famille inconnue dont la tête et déjà mise a pris dans dix-sept États de ce foutu pays. En parlant un peu au saloon et en allant trainer avec deux ou trois fils de salaud il avait appris que les frères Garret projetaient de braquer la banque de la ville dans l’après-midi. Hélas le shérif était déjà au courant et avait monté un piège pour les choper a la sortie de la ville avec quelques hommes. Le plan de Bill était simple il se jette dans l’embuscade il sème les hommes puis il tue les frères Garret et vole le butin. Malgré les apparences Bill a un sens de l’honneur élevé et respecte son propre code à savoir on ne tue jamais d’homme a terre désarmés diminués ou d’innocent. S’il n’avait aucun scrupule a tué un brigand comme lui il détestait s’en prendre au défenseur de la loi ce qui lui valut le surnom de « truand innocent » qui faisait rire pas mal de monde y comprit Bill lui-même. Son plan se déroulait exactement comme prévu. Il s’était rendu sur le lieu de l’embuscade derrière un des panneaux de bois disposés la pour l’occasion avant même que le sheriff ne se soit positionné. Il attendait la bien à l’abri pendant que le shérif ses adjoints et les villageois volontaires pour sauver leur or faisaient déferlé une pluie de plomb sur le panneau.
Tout en portant sa cigarette a sa bouche de la main droite il commença a fouillé les poches de son pantalon de la main gauche. Il ne ressentit pas les balles qu’il aurait voulu avoir dans ses poches. « Et merde » l’achat il dans un souffle. Il entendit tout à coup un son lourd heurter le panneau parmi le sifflement des balles. Tss voilà que ses abrutit luis jettent des cailloux ils ont déjà plus de balles ou quoi. A moins que… Les bruits de coup de feu avaient cessé comme si l’ennemie attendait autre chose. Bill courut le plus vite qu’il put et s’échappa juste à temps avant l’explosion du panneau de bois. « Un bâton de dynamite ils y vont pas à la légère les salauds » pensât Bill. Il avait échappé de peu à l’explosion mais il était cependant loin d’être hors de danger. Sans attendre que l’ennemi réplique il se planqua dans la baraque du shérif. Et au moment où il sortit par la porte de derrière il écrasa sa cigarette au sol pile sur une mèche et se dit intérieurement « ok les gars vous l’aurez voulu je passe au plan B ». Il monta a l’échelle et commença à fuir par les toits. Un homme venait de le repérer et criait déjà à ses compagnons de viser les toits. Quand tout à coup une explosion survint de partout à la fois. Notre héros avait dispersé discrètement des petits bouts de dynamite à droite à gauche et leur explosion ne fit pas grand dégâts mais souleva un nuage de poussière et de sable qui couvrit sa fuite.
Habitué à ce mode de fuite notre héros remonta son foulard sur sa bouche et ne fut pas plus gêné. Il sortit son flingue et d’un seul geste de la main droite il fit sortir le barillet pour conter les balles restantes. « six balles et seulement cinq frères j’ai une large avance » en parlant des frères Garret Bill les distinguait au loin à travers la poussière en train de sortir de la banque. En voyant le bordel ambiant ils se dirigèrent du côté opposé à l’embuscade qu’on leur avait tendu vers la sortie de la ville la plus éloignée d’eux. Bill accélérât le plus vite qu’il put en sautant de toit en toit. Il sautât ensuite dans la rue pour atterrir les deux jambes de chaque côté du coup d’un des frères Garret. La poussière n’était pas totalement tombé et les quatre autre frères préférèrent continuer leur routes plutôt que de s’attarder. Bill attendit que le Garrett se relève et se saisisse de son arme. Une fois cela fait il tirât une balle dans la tête de l’homme en ce répétant qu’il ne tuerait jamais un homme à terre. Il poursuivit les quatre autres frères mais il fut arrêté pas une ombre massive.
Le shérif se tenait face à lui, revolver pointé doigt, sur la gâchette, prêt a tiré. Il n’en eu jamais le temps car il fut abattu dans le dos par le tir d’une carabine calibre douze. Le sheriff tombât au pied de Bill et une nouvelle silhouette lui fit face. Peu de femme choisissent la voix de hors la loi dans l’Ouest sauvage mais si il y’en as une que Bill croise souvent c’est bien Suzanne. Elle avait une propension étonnante à se mêler des mêmes coups que lui mais étonnement elle s’en sortait toujours mieux. Tout en courant ils entamèrent une discussion
- Suzy.
- Billy.
- Toujours dans mais pates à ce que je voie.
- J’allais le dire.
- Bon pour une fois sa m’arrange
- Ouaip. Tu me dois une vie.
- Bien vrai. Mais qu’est-ce qu’une garce comme toi fout dans le secteur.
- Ça fait un moment que je traque les Garret figure toi. J’ai de suite reconnu ton style au nuage de poussière alors je me suis dit. Et si je partageai la récompense avec ce vieux Billy ?
- Je connais tes fourberie Suzy on parle bien d’un 50%50%
- Ouaip
- Marché conclut cowgirl
Les frères Garret étaient en train de voler des chevaux à la sortie de la ville au moment où Bill et Susan sifflèrent dans leur doigt simultanément. Deux canassons, qui avaient réussi à entendre les sifflements au milieu des cris des gens du village et des coups de feu à l’aveuglette lancés par quelques fou, arrivèrent au en même temps à la sortit de la ville. Bill et Suzan montèrent d’un bon sur leurs destriers respectifs comme les deux faces d’un miroir.
Bill sortit son colt de son holter (nan mais je fais genre je connais des mots compliqué mais j’avoue internet me l’as donné celui-là) tout en tenant les rennes de son cheval de la main gauche. Susan elle laissa son cheval avancer tenant sa bonne vielle Winchester à deux mains pour mieux viser les frères Garret. Les deux compagnons n’hésitèrent pas à jouer des étriers dans les flancs de leurs chevaux pour rattraper les frères qui avait un désavantage évident sur la vitesse du à la quantité de billet que leurs chevaux transportaient. Ils arrivèrent bientôt a porté de tir des frères. Ils pouvaient aisément les rattraper mais préféraient rester à l’arrière car ceci leur offrait un avantage certain lors d’une fusillade. Un concours silencieux s’engagea entre les deux poursuivants. Susan entame les hostilités mais son tir fait mouche. Les frères Garret tirent de manière un peu hasardeuse mais il est bien difficile de viser vu les conditions dans lesquels ils se trouvent. Bill tire à son tour et sa balle vient se loger directement dans la patte du cheval du plus jeune des frères qui s’écroule en roulant. Son cavalier finit mort la tête écrasée par le poids de son cheval. La poursuite continue et c’est le deuxième tir de Susan qui vient toucher le dos d’un cavalier et fait chuter celui-ci. Les deux dernier frères sont presque a court de balles mais Jess l’ainé réussit a touché la tête du cheval de Jane. Celle-ci se retrouve éjectée la tête droit dans le sable sans dégât apparent mais hors course. Bill tire une balle qui vient frôler la joue de Jess puis une deuxième qui part droit dans la tête de son frère. La course en plein cœur du désert continue inlassablement. Bill choisit finalement d’attraper Jess au lasso. Il s’approche et commence à faire tourner la corde en l’air il lance son lasso qui vient cueillir le dernier des frères Garret. Sa monture chargée de billet vas s’arrêter environ deux cent mètres plus loin.
Bill descend de son cheval et s’approche de l’homme dans le lasso. Il s’empare de son revolver et ouvre le barillet vide. Il ouvre celui de son propre revolver et retire une balle qu’il introduit dans celui de Jess Garret. Il détacha ensuite le lasso et tendit le revolver et Jess.
- On va régler sa entre quatre yeux mec. Une balle chacun pas de triche possible et si on loupe tous les deux sa se réglera au couteau
- Tu aurais pu me tuer
- A vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
- A vaincre sans péril on évite les ennuis.
- Je ne suis pas de la même espèce que toi sache le.
- Nous sommes tous les deux de brigands.
- Mais pas tous des assassins.
- Tu as pourtant tué mes frères.
- Oui mais pas par plaisir. Assez discuté que le combat commence.
Les deux hommes se placèrent à une vingtaine de mètre l’un de l’autre. La tension était palpable le silence total seul le vent de la plaine provoquait des tourbillons de sable qui passait d’un entre les deux cowboys. Leurs regards chargés de haine se fixaient. Leurs concentrations poussées à leurs paroxysme les deux cowboys ne faisait absolument plus attention à l’environnement qui les entourent peut-être auraient-ils due. Les deux cowboys dégénèrent exactement au même instant mais Bill appuya sur son barillet une fraction de seconde plus vite. La balle vint droit dans la trachée de Jess Garret.
Bill sortit du tabac à chiquer et commençât à le mâcher en s’approchant du cheval pour prendre les billets. Jess avait largement eu sa part avec les autres chevaux. Cependant une sensation froide dans sa nuque lui fit comprendre que non.
Bill lâchât son colt et levât les mains tandis que la winchester caressait sa nuque.
- Et pour notre accord ?
- J’en ai un peu marre de t’avoir dans les pattes Billy.
- T’as vraiment pas d’honneur.
- Tss t’aurait dû tuer Jess quand il était au sol. Tes principes à la con n’ont pas lieux d’être dans notre job. Ça te coutera la vie.
- Je t’aurais jamais trahit de la sorte beauté.
- Preuve que t’as pas les couilles pour l’Ouest Billy. Toute façon tu me dois une vie alors écoute bien ce que je vais te dire. Y’as quinze mille dollar par cheval dix mille pour les frères Garret et vingt-cinq mille de plus sur ta tête. Les autorités de cet état me connaissent pas alors je te livre avec les frères en disant que j’ai pas trouver les Benjamins le coup du siècle. Adieux Billy t’était une belle mauviette.
Le coup parti droit dans la nuque de Bill et la balle la traversât pour ressortir par la trachée. Le corps de l’homme tombât sur sol et son sang vint souiller le désert.
Bill se réveillât difficilement. Sa tête tournait comme jamais. Il était dans une pièce au sol blanc et au mur blanc. Il sortit par la seule porte qu’il voyait blanche elle aussi et atterrit dans un petit bureau. Tout ici était reluisant propre et blanc. Face à lui se tient un homme en costar blanc.
- Vous aimez le blanc non ? – furent les premiers mots qui sortirent de la bouche de Bill
- Que faite vous la ? – demandât simplement l’homme d’un ton neutre
- Je suis mort pas vrai
- Ça fait beaucoup de question et pas beaucoup de réponse
- Euh t’es dieux ou un truc du genre ?
- Disons un truc du genre. Et vous ?
- Euh Bill.
- Enchantez Bill. Au risque de me répéter que faite vous la ?
- J’espérais que tu me le dirais.
- Je sais pourquoi tu es la mais je te demande POURQUOI tu es la ?
- T’as pas plus clair mec.
- Tu es un grand homme un combattant un survivant. Un homme avec des valeurs qu’il respecte. Je ne te poserais que quatre question.
Quel est ton nom ? De quelle époque viens-tu ? D’où viens-tu ? Et que veux-tu ?
- Mon nom est Bill et ta deuxième question et plus que bizarre mais nous somme en 1888. Je suis né dans le Texas et je veux juste mon cheval mon colt du whisky du tabac et une vengeance.
- Sa part exemple un cowboy parmi les cinq qui l’eu crut.
- De quoi ?
- Nom je me comprends.
- T’as bien de la chance.
- Bon Bill… Je peux t’appeler Bill.
- Je ne t’ai pas donné d’autre nom toute façon.
- Alors bill je te propose un marché. Tu travailles pour moi et je t’accorde ta vengeance je te rends ton colt et ton cheval et je te fournis en alcool en tabac et en tout ce que tu veux pour l’éternité.
- Et sinon ?
- Tu retourneras a ta mort paisible
- Tu sais que c’est pas du tout dur de choisir.
- Si tu acceptes tu risqueras ta vie à chaque instant. Nul ne peut être ramené deux fois.
- Tu sais que tu me donne encore plus envie là.
- Alors bienvenue dans l’ultime équipe bill… Je peux t’appeler Bill ?