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 l'ultime équipe

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fachoul
Neyblade
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MessageSujet: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyMer 1 Jan - 23:00

L’ultime équipe
Chapitre un Bill

pour le fond sonere sa rend quand meme mieux
https://www.youtube.com/watch?v=n6Ns40rh4uQ

Accroupit derrière sa maigre barricade de bois Bill laissait allez les coups de feu sans plus de souci. Il remit  Johny son fidèle six coups à sa ceinture. Il sortit une feuille et de l’herbe et commençât à se rouler une cigarette pendant qu'une pluie de plomb ne cessait de venir s’abattre sur la barricade de bois. Bill était un homme brun d’un mètre quatre-vingt environ. Son visage de trentenaires avait des traits endurcis par l’ouest sauvage et une légère barbe au poil dru recouvrai son menton. Il portait un grand chapeau blanc capable de le protéger des durs rayons du soleil qui tape dans le désert de l’ouest. Il était vêtu d’un foulard rouge pendant sur sa chemise à carreau rouge et blanc, son pantalon brun était rentré dans ses bottes de cuirs aux éperons d’or.
Tout en fumant sa cigarette Bill récapitulait son plan. Il était arrivé dans cette putin de ville il y’as deux jours. Par chance personne n’avait reconnue Bill le criminel au nom de famille inconnue dont la tête et déjà mise a pris dans dix-sept États de ce foutu pays. En parlant un peu au saloon et en allant trainer avec deux ou trois fils de salaud il avait appris que les frères Garret projetaient de braquer la banque de la ville dans l’après-midi. Hélas le shérif était déjà au courant et avait monté un piège pour les choper a la sortie de la ville avec quelques hommes. Le plan de Bill était simple il se jette dans l’embuscade il sème les hommes puis il tue les frères Garret et vole le butin. Malgré les apparences Bill a un sens de l’honneur élevé et respecte son propre code à savoir on ne tue jamais d’homme a terre désarmés diminués ou d’innocent. S’il n’avait aucun scrupule a tué un brigand comme lui il détestait s’en prendre au défenseur de la loi ce qui lui valut le surnom de « truand innocent » qui faisait rire pas mal de monde y comprit Bill lui-même. Son plan se déroulait exactement comme prévu. Il s’était rendu sur le lieu de l’embuscade derrière un des panneaux de bois disposés la pour l’occasion avant même que le sheriff ne se soit positionné. Il attendait la bien à l’abri pendant que le shérif ses adjoints et les villageois volontaires pour sauver leur or faisaient déferlé une pluie de plomb sur le panneau.
Tout en portant sa cigarette a sa bouche de la main droite il commença a fouillé les poches de son pantalon de la main gauche. Il ne ressentit pas les balles qu’il aurait voulu avoir dans ses poches. « Et merde » l’achat il dans un souffle. Il entendit tout à coup un son lourd heurter le panneau parmi le sifflement des balles. Tss voilà que ses abrutit luis jettent des cailloux ils ont déjà plus de balles ou quoi. A moins que… Les bruits de coup de feu avaient cessé comme si l’ennemie attendait autre chose. Bill courut le plus vite qu’il put et s’échappa juste à temps avant l’explosion du panneau de bois. « Un bâton de dynamite ils y vont pas à la légère les salauds » pensât Bill. Il avait échappé de peu à l’explosion mais il était cependant loin d’être hors de danger. Sans attendre que l’ennemi réplique il se planqua dans la baraque du shérif. Et au moment où il sortit par la porte de derrière il écrasa sa cigarette au sol pile sur une mèche et se dit intérieurement « ok les gars vous l’aurez voulu je passe au plan B ». Il monta a l’échelle et commença à fuir par les toits. Un homme venait de le repérer et criait déjà à ses compagnons de viser les toits. Quand tout à coup une explosion survint de partout à la fois. Notre héros avait dispersé discrètement des petits bouts de dynamite à droite à gauche et leur explosion ne fit pas grand dégâts mais souleva un nuage de poussière et de sable qui couvrit sa fuite.
Habitué à ce mode de fuite notre héros remonta son foulard sur sa bouche et ne fut pas plus gêné. Il sortit son flingue et d’un seul geste de la main droite il fit sortir le barillet pour conter les balles restantes. « six balles et seulement cinq frères j’ai une large avance » en parlant des frères Garret Bill les distinguait au loin à travers la poussière en train de sortir de la banque. En voyant le bordel ambiant ils se dirigèrent du côté opposé à l’embuscade qu’on leur avait tendu vers la sortie de la ville la plus éloignée d’eux. Bill accélérât le plus vite qu’il put en sautant de toit en toit. Il sautât ensuite dans la rue pour atterrir les deux jambes de chaque côté du coup d’un des frères Garret. La poussière n’était pas totalement tombé et les quatre autre frères préférèrent continuer leur routes plutôt que de s’attarder. Bill attendit que le Garrett se relève et se saisisse de son arme. Une fois cela fait il tirât une balle dans la tête de l’homme en ce répétant qu’il ne tuerait jamais un homme à terre. Il poursuivit les quatre autres frères mais il fut arrêté pas une ombre massive.
Le shérif se tenait face à lui, revolver pointé doigt, sur la gâchette, prêt a tiré. Il n’en eu jamais le temps car il fut abattu dans le dos par le tir d’une carabine calibre douze.  Le sheriff tombât au pied de Bill et une  nouvelle silhouette lui fit face. Peu de femme choisissent la voix de hors la loi dans l’Ouest sauvage mais si il y’en as une que Bill croise souvent c’est bien Suzanne. Elle avait une propension étonnante à se mêler des mêmes coups que lui mais étonnement elle s’en sortait toujours mieux. Tout en courant ils entamèrent une discussion
- Suzy.
- Billy.
- Toujours dans mais pates à ce que je voie.
- J’allais le dire.
- Bon pour une fois sa m’arrange
- Ouaip. Tu me dois une vie.
- Bien vrai. Mais qu’est-ce qu’une garce comme toi fout dans le secteur.
- Ça fait un moment que je traque les Garret figure toi. J’ai de suite reconnu ton style au nuage de poussière alors je me suis dit. Et si je partageai la récompense avec ce vieux Billy ?
- Je connais tes fourberie Suzy on parle bien d’un 50%50%
- Ouaip
- Marché conclut cowgirl
Les frères Garret étaient en train de voler des chevaux à la sortie de la ville au moment où Bill et Susan sifflèrent dans leur doigt simultanément. Deux canassons, qui avaient réussi à entendre les sifflements au milieu des cris des gens du village et des coups de feu à l’aveuglette lancés par quelques fou, arrivèrent au en même temps à la sortit de la ville. Bill et Suzan montèrent d’un bon sur leurs destriers respectifs comme les deux faces d’un miroir.
Bill  sortit son colt de son holter (nan mais je fais genre je connais des mots compliqué mais j’avoue internet me l’as donné celui-là) tout en tenant les rennes de son cheval de la main gauche. Susan elle laissa son cheval avancer tenant sa bonne vielle Winchester à deux mains pour mieux viser les frères Garret. Les deux compagnons n’hésitèrent pas à jouer des étriers dans les flancs de leurs chevaux pour rattraper les frères qui avait un désavantage évident sur la vitesse du à la quantité de billet que leurs chevaux transportaient. Ils arrivèrent bientôt a porté de tir des frères. Ils pouvaient aisément les rattraper mais préféraient rester à l’arrière car ceci leur offrait un avantage certain lors d’une fusillade. Un concours silencieux s’engagea entre les deux poursuivants. Susan entame les hostilités mais son tir fait mouche. Les frères Garret tirent de manière un peu hasardeuse mais il est bien difficile de viser vu les conditions dans lesquels ils se trouvent. Bill tire à son tour et sa balle vient se loger directement dans la patte du cheval du plus jeune des frères qui s’écroule en roulant.  Son cavalier finit mort la tête écrasée par le poids de son cheval. La poursuite continue et c’est le deuxième tir de Susan qui vient toucher le dos d’un cavalier et fait chuter celui-ci. Les deux dernier frères sont presque a court de balles mais Jess l’ainé réussit a touché la tête du cheval de Jane. Celle-ci se retrouve éjectée la tête droit dans le sable sans dégât apparent mais hors course. Bill tire une balle qui vient frôler la joue de Jess puis une deuxième qui part droit dans la tête de son frère. La course en plein cœur du désert continue inlassablement. Bill choisit finalement d’attraper Jess au lasso. Il s’approche et commence à faire tourner la corde en l’air il lance son lasso qui vient cueillir le dernier des frères Garret. Sa monture chargée de billet vas s’arrêter environ deux cent mètres plus loin.
Bill descend de son cheval et s’approche de l’homme dans le lasso. Il s’empare de son revolver et ouvre le barillet vide. Il ouvre celui de son propre revolver et retire une balle qu’il introduit dans celui de Jess Garret. Il détacha ensuite le lasso et tendit le revolver et Jess.
- On va régler sa entre quatre yeux mec. Une balle chacun pas de triche possible et si on loupe tous les deux sa se réglera au couteau
- Tu aurais pu me tuer
- A vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
- A vaincre sans péril on évite les ennuis.
- Je ne suis pas de la même espèce que toi sache le.
- Nous sommes tous les deux de brigands.
- Mais pas tous des assassins.
- Tu as pourtant tué mes frères.
- Oui mais pas par plaisir. Assez discuté que le combat commence.
Les deux hommes se placèrent à une vingtaine de mètre l’un de l’autre. La tension était palpable le silence total seul le vent de la plaine provoquait des tourbillons de sable qui passait d’un entre les deux cowboys. Leurs regards chargés de haine se fixaient. Leurs concentrations poussées à leurs paroxysme les deux cowboys ne faisait absolument plus attention à l’environnement qui les entourent peut-être auraient-ils due. Les deux cowboys dégénèrent exactement au même instant mais Bill appuya sur son barillet une fraction de seconde plus vite. La balle vint droit dans la trachée de Jess Garret.
Bill sortit du tabac à chiquer et commençât à le mâcher en s’approchant du cheval pour prendre les billets. Jess avait largement eu sa part avec les autres chevaux. Cependant une sensation froide dans sa nuque lui fit comprendre que non.
Bill lâchât son colt et levât les mains tandis que la winchester caressait sa nuque.
- Et pour notre accord ?
- J’en ai un peu marre de t’avoir dans les pattes Billy.
- T’as vraiment pas d’honneur.
- Tss t’aurait dû tuer Jess quand il était au sol. Tes principes à la con n’ont pas lieux d’être dans notre job. Ça te coutera la vie.
- Je t’aurais jamais trahit de la sorte beauté.
- Preuve que t’as pas les couilles pour l’Ouest Billy. Toute façon tu me dois une vie alors écoute bien ce que je vais te dire. Y’as quinze mille dollar par cheval dix mille pour les frères Garret et vingt-cinq mille de plus sur ta tête. Les autorités de cet état me connaissent pas alors je te livre avec les frères en disant que j’ai pas trouver les Benjamins le coup du siècle. Adieux Billy t’était une belle mauviette.
Le coup parti droit dans la nuque de Bill et la balle la traversât pour ressortir par la trachée. Le corps de l’homme tombât sur sol et son sang vint souiller le désert.





Bill se réveillât difficilement. Sa tête tournait comme jamais. Il était dans une pièce au sol blanc et au mur blanc. Il sortit par la seule porte qu’il voyait blanche elle aussi et atterrit dans un petit bureau. Tout ici était reluisant propre et blanc.  Face à lui se tient un homme en costar blanc.
- Vous aimez le blanc non ? – furent les premiers mots qui sortirent de la bouche de Bill
- Que faite vous la ? – demandât simplement l’homme d’un ton neutre
- Je suis mort pas vrai
- Ça fait beaucoup de question et pas beaucoup de réponse
- Euh t’es dieux ou un truc du genre ?
- Disons un truc du genre. Et vous ?
- Euh Bill.
- Enchantez Bill. Au risque de me répéter que faite vous la ?
- J’espérais que tu me le dirais.
- Je sais pourquoi tu es la mais je te demande POURQUOI tu es la ?
- T’as  pas plus clair mec.
- Tu es un grand homme un combattant un survivant. Un homme avec des valeurs qu’il respecte. Je ne te poserais que quatre question.
Quel est ton nom ? De quelle époque viens-tu ? D’où viens-tu ? Et que veux-tu ?
- Mon nom est Bill et ta deuxième question et plus que bizarre mais nous somme en 1888. Je suis né dans le Texas et je veux juste mon cheval mon colt du whisky du tabac et une vengeance.
- Sa part exemple un cowboy parmi les cinq qui l’eu crut.
- De quoi ?
- Nom je me comprends.
- T’as bien de la chance.
- Bon Bill… Je peux t’appeler Bill.
- Je ne t’ai pas donné d’autre nom toute façon.
- Alors bill je te propose un marché. Tu travailles pour moi et je t’accorde ta vengeance je te rends ton colt et ton cheval et je te fournis en alcool en tabac et en tout ce que tu veux pour l’éternité.
- Et sinon ?
- Tu retourneras a ta mort paisible
- Tu sais que c’est pas du tout dur de choisir.
- Si tu acceptes tu risqueras ta vie à chaque instant. Nul ne peut être ramené deux fois.
- Tu sais que tu me donne encore plus envie là.
- Alors bienvenue dans l’ultime équipe bill… Je peux t’appeler Bill ?
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fachoul
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyMar 14 Jan - 17:35

Malgré ce qu’on pourrait croire all this mother fucking texte est historiquement crédible et comporte uniquement des éléments inscrit dans un contexte historique réel et l’auteur c’est longuement documenté avant de se lancer la dedans donc vous êtes priés de ne pas remettre en cause la plausibilité historique de mes propos.

Kenji se détendit une dernière fois avant de partir en mission. Il n’avait que très peu d’attachement au pratiques du monastère bouddhiste qu’il avait quitté a l’Age de quatorze ans. Mais cependant l’équilibre du Ying et u yang par la méditation et la relaxation était resté imprimé au fer rouge dans son esprit. Il refit ensuite le tour de son inventaire de combat.
Son Kusarigama (faucille relié à une chaine) était accroché à sa ceinture. Accroché à sa ceinture également venait ensuite sa poche contenant les metsubushi (plus ou moins des boules pour créer de la fumée) en cas de fuite sa poche contenant des shakens (vous devez surement vous trompez en pensant que ça s’appelle des shurikens) sa poche de Makibichi (basiquement des clous a plusieurs pointes en fait) qu’il disperserait au sol pour couvrir sa fuite puis enfin son grappin qu’il avait récemment volé a un pirate (si si ils se sont côtoyer moi non plus j’y aurait pas cru) il prit ses Ashiko (pointes pour godasse servant à attaquer et escalader) et les équipa sur ses chaussures été enfin mit son nunchaku dans son dos. Il était fin prêt.
Il quittât sa maison isolée dans la montagne et descendit vers la ville la plus proche. Arrivé là il prit la route vers le nord et au bout de deux heures de marche il arriva au point de rendez-vous.
Kaïzo était bien là mais il ne semblait pas équipé pour la mission.
- Ecoute Kenji j’ai bien réfléchit. La récompense est grande mais la mission bien trop dangereuse.
- Que veux-tu dire ?
- Les vols les pillages d’accord. Les embuscades c’est de notre ressort. Mais on n’infiltre pas un fort ennemie comme ça !
- Allons pour toi l’infiltration est un jeu d’enfant !
- La mise est trop grande se serrât sans moi.
- J’ai accepté cette mission et je l’accomplirais libre à toi de partir dans le déshonneur.
Kenji poursuivit donc sa route seul. Il allait falloir être particulièrement vigilent cette mission s’annoncait encore plus difficile que prévu. Il contournât le plus naturellement du monde les troupes du seigneur Koju. Il arrivât ensuite aux portes du fort ver lequel marchait ces troupes.
Il allât se cacher dans un buisson sur le bord de la route et attendit patiemment. Une dizaine de minute plus tard un homme vêtu de rouge passait sur le chemin. Sans plus réfléchir Kenji lançât un shakens qui vint se loger dans la gorge de l’homme. Il allât ensuite ranger le cadavre dans les buissons tout en échangeant de vêtement avec celui-ci. Il partit donc vers le camp militaire portant des vêtements rouges sur lesquels les taches de sang ne se voyaient presque pas. Arrivé près de la porte du fort il sortit un objet de sa poche pour le mettre dans sa bouche et commençât à pénétrer dans la forteresse. Tous se passait bien jusqu’as qu’un garde s’intéresse à lui d’un peu trop près.
- Et toi ! – Kenji rebroussât chemin pour se rendre vers le garde de la porte – ton visage ne m’évoque rien quel est ton nom.
Kenji ouvrit la bouche et crachat le Fukumibari une fléchette destinée à cet usage précis. Au même moment d’un geste du bras droit il vint attraper son Kusarigama la chaine se tendit à la perfection et vint décapiter un autre garde dans un geste d’une précision infime. Pendant ce temps sa main gauche était allé attraper une metsubushi il jetât la coquille d’œuf emplie de poudre et une fumée blanche vint envahir les lieux. Il courut à l’intérieur du fort en criant – Un ninja ! Un ninja tente de s’infiltré ! – sa devrait les distraire un moment.
Le ninja avait bien préparé son coup et il connaissait le plan du fort à la perfection il n’eut donc aucun mal à trouver la salle qu’il recherchait. Il avançât près des réserves d’explosifs. Là sortit une fiole d’huile à lanterne de son sac et fit soigneusement couler un long filet jusqu’as la sortit de la salle. Il sortit ensuite un bout de métal de sa poche et un silex de son autre poche et les frottât l’un contre l’autre. Une étincelle jaillit et vint embraser le filet d’huile. Il partit en courant mais ce qui devait arriver arrivât trois hommes lui tombèrent dessus. Il donna un coup de pied dans le ventre du premier et les ashiko sous sa chaussure éventrèrent l’inconnu. Il lançât ensuite un metsubushi pour couvrir le terrain de fumée et assomma les deux restants avec son nunchaku. Il s’enfuit vers le mur le plus proche en prenant soin de disperser les makibishi derrière lui. Il lançât son grimpa et commençât une ascension grandement facilité par les ashiko sous ces chaussures. Il eut à peine le temps d’atteindre le sommet et de sauter dans les douves que déjà le fort explosait derrière lui. Trop peu de pierre pour trop de bois un immense incendie se déclenchait dans le camp militaire à ce moment même. Kenji sortit de l’eau et commençât à ce diriger vers les troupes de Koju. Au moment où il sortit de la douve il entendit une voie familière
- Je ne te laisserais pas prendre la récompense mon ami. Pas plus que mon honneur.
Un shuriken vint vers le ninja et lui traversât la gorge. A cet instant Kenji perdu la vie.



(oui sa passe au présent c’est purement volontaire d’ailleurs c’est une erreur de ne pas l’avoir fait dans le texte précédent.)
Le ninja se réveille dans une salle entièrement blanche. Il est encore étourdit mais se relève très vite. La salle est plutôt petite et rien de spécial n’est notable a par peut être cette blancheur immaculé qui envahit les lieux entier sans qu’aucune source de lumière soit pourtant visible. Il emprunte la seule porte de la salle et se retrouve à l’entrée d’un bureau tout aussi blanc que la salle précédente. Derrière le bureau se tient un homme avec un costard et une cravate blanche. Le ninja s’agenouille à la vue de l’homme.
- Vous êtes un kami n’est-ce pas
L’homme relève la tête de ces papiers et regarde Kenji avec un air de contrariété.
- Avant de poser des questions d’ordre religieux il est de coutume de saluer son interlocuteur.
- Toutes mes excuses. Salutations Kami-sama.
- Alors non je ne suis pas un kami. Mais tu peux continuer de m’appeler Kami-sama si tu le souhaite. Ces derniers temps je trouve qu’on memanque de respect.
A ce moment précis la porte arrière du bureau s’ouvre laissant apparaitre Bill.
- Et mec je me demandais. Je sais bien t’as un rapport avec le temps tous sa mais tu te fais pas chier à écrire je ne sais pas quoi tous seul dans ton bureau toute la journée ? – il vit ensuite Kenji – Oh voilà un collègue je suppose que je viens plus ou moins de casser ton effet la non ? désolé mec on en reparle ?
Bill sortit à nouveau de la pièce.
- Qui était-ce ?
- Ton nouveau collègue.
- Quoi ?
- Bon on va faire vite. Quel est ton nom ? De quelle époque viens-tu ? D’où viens-tu ? Et que veux-tu ?
- Mon nom est Kenji Oamaru je viens de l’empire féodal du japon (oui j’ai aucune idée de la date celons le calendrier japonais) et mon seul souhait à ce jour et de réparer une injustice.
- Samouraï ou ninja ?
- Ninja.
- Un cowboy et un ninja si tout ceci était scénarisé on pourrait vraiment dire que l’auteur manque d’imagination.
- Qu’avez-vous dit ?
- Rien rien je me comprends. Kenji j’ai une mission à te proposer. Si tu acceptes je te donnerais une occasion de réparer cette injustice. Si tu refuses je te renverrais vers une mort paisible.
- Et quelle et donc cette mission ?
- Rejoint l’ultime équipe.
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyJeu 23 Jan - 19:25

chapitre 3 les infectés

George et Annie tournèrent dans le énième couloir de béton quand ils aperçurent enfin la porte tant convoitée. Ils la franchirent simultanément et George la fermât poussant la masse métallique de toutes ses forces. Il tournât ensuite le rouage pour verrouiller la porte. Sans même se dirent un mot les deux personnes sortirent un dictaphone simultanément.
- Journal de bord d’Annie Desmond 2 février 1352 avons pénétrer le laboratoire grâce à la force de George. Nous sommes prêts à démarrer une série d’expérimentation.
- Journal de bord de George Johnson l’ingéniosité d’Annie nous a permis d’accéder au fameux laboratoire du Nevada. Les infectés ne peuvent a priori pas pénétrer cette salle. Nous avons tout le temps nécessaire pour effectuer nos recherches.
La salle était grande est emplie d’engins de laboratoires et d’ordinateurs. Quelques cadavres d’hommes et de femmes en blouse trainaient de sa et de là au travers de la salle.
- Les pauvres sont mort de soif il me semble. – Commente Annie tout à fait justement.
- C’est toujours mieux que de se laisser bouffer par les zombies.
- Je sais pas j’ai jamais essayer aucun des deux. On a des vivres pour combien de temps ?
- Deux semaines en raison d’un repas toute les huit heures.
- C’est peu.
- Si tu chargeais plus ton sac on aurait pu rester plus longtemps.
- Non deux semaines sa devrait être suffisant un repas toutes les huit heures c’est peu.
- Comment tu peux garder des gouts de luxe en pleine apocalypse ?
- C’est ce qui fait que je ne deviens pas folle je crois. enfin bref… On est parti je vais passer huit heures à essayer de remettre du courant dans tout ce foutoir et à récupérer les données des gars qu’on bosser ici avant nous. Pendant ce temps essaie de dormir un peu. Ensuite tu me relayeras et je dormirais pendant huit heure on passera huit heure ensemble et on recommencera. Des questions ?
- Non Annie.
- Alors go.
George partit installer les sacs de couchages sur le sol il sortit également de son large sac des provisions un certain nombre d’appareils électriques compliqués mais également une main de zombie.
- Rappelle moi pourquoi je dois porter sa déjà ?
- Échantillon pour les tests.
- Des bouts de peau sa suffit pas ?
- Si mais la dessus y’en a un paquet.
- Je trouve sa quand même répugnant.
- On est des scientifique les trucs répugnants on adore ça.
Annie se dirigea vers un compteur électrique et au moment où elle l’ouvrit elle remarqua une quantité de journaux accrochés sur un panneau. Les titres affichent en gros des phrases qui lui évoquent bien de choses. « George Johnson le triple champion du monde de boxe et l’actrice Annie Desmond gagnent ensemble le prix Nobel de science ». « Physique Chimie Biologie Électronique. Les deux stars excellent dans tous ces domaines. ». Pff pense Annie cette vie-là était bien loin. Elle ouvrit le compteur électrique et bricolât un moment avant de décider d’aller voir du côté des câbles.
Bon à partir de là ça fonctionne par grosse ellipse mise sous forme de journal de bord.
- Journal de bord de George Johnson jour 1 Annie a rétabli le courant et je recherche les données laissées par nos prédécesseurs. La vie ici va être dure mais je pense qu’on peut s’habituer.
- Journal de bord d’Annie Desmond jour 2 il semblerait que nos prédécesseurs aient découverts le génome à l’origine de la mutation on n’a plus qu’à exploiter ça. La vie ici est rude mais c’est pas bien pire que survivre dehors.
- Journal de bord de George Johnson jour 4 on a réussi à trouver un agent capable d’isoler le génome responsable il ne reste plus qu’à trouver comment le traiter. La faim commence à se faire sentir et les 16 heures de travail quotidiennes n’aident pas vraiment.
- Journal de bord d’Annie Desmond jour 8 on a fini d’établir une liste des agents pouvant potentiellement guérir les cellules zombies. Sa a pris beaucoup plus de temps que prévu je me demande si on ne va pas devoir réduire le nombre de ration.
- Journal de bord de George Johnson jour 12. Nous avons réduit les rations à un repas par jour. Le travail est difficile mais nous sommes proches du but. On peut bien tenir une semaine de plus.
- Journal de bord d’Annie Desmond jour 15 on a enfin trouvé un sérum on va pouvoir passer au premier test.
Juste après avoir enregistré ce message Annie part réveiller George. La femme se penche ver le sac de couchage et secoue violement l’homme
- George ! Hé George !
- Qu’est-ce que tu veux ?
- J’ai un sérum je voulais faire les essais avec toi.
L’homme se levât sans dire un mot et partir directement vers le microscope en prenant soin de prendre la cage dans laquelle la main estait enfermée. Il disséquât avec précision une partie de la peau qu’il vint aussitôt placer sous le microscope. Il versât ensuite précautionneusement le sérum distillé par Annie à l’aide d’une pipette sur la peau et observe les effets au microscope. Au fur et à mesure que le sérum se répand la peau blanche retrouve une couleur beige et une solidité de peau humaine.
- Annie t’as réussi !
Mais à cet instant la peau devint de plus en plus foncé et finit par devenir aussi dure qu’une carapace et noire comme la nuit pour enfin partir en poussière.
- Ok y’as quand même un petit effet secondaire mais on a jamais été aussi proche du but. Enregistre sa et vas te reposer je prends ton tour.

- Journal d’Annie Desmond mon sérum est un échec mais je sens qu’on touche au but. Je vais me coucher la nuit porte conseil.



A son réveil Annie ne reconnait pas le lieu dans lequel elle se trouve. Une sorte de petite pièce blanche. Elle s’assoit et s’aperçoit qu’un homme en costard blanc se tient face à elle. Une expression de profonde tristesse envahit son visage. Sans dire un mot l’homme lui lance un dictaphone. Annie pause son pouce sur le bouton d’écoute et regarde l’homme en blanc avec un regard interrogateur. Celui-ci hoche la tête. Annie appuis sur le bouton et une voit se fait entendre.
- Journal de bord de George Johnson. Le sérum mit au point par Annie est génial mais elle l’a produit dans une trop forte concentration. C’est à la fois un atout majeur pour la guérison des zombies et un poison capable de tuer n’importe quel humain. Cela me permettra de devenir empereur du monde. Libérateur des zombies l’homme qui possède l’arme capable de tuer n’importe qui. Un combattant hors pair au corps à corps. La vente du sérum me rendra riche et puissant en plus de populaire. Malheureusement Annie s’oppose à cette idée et veux le distribuer gratuitement. Une grande ambition impliquant de grand sacrifice j’ai décidé de la tuer en lui injectant son sérum à forte dose. C’était le dernier enregistrement de George Johnson et le monde me connaitra désormais sous le nom de grand libérateur.
Annie toujours assise à terre repose doucement le dictaphone au sol. Quelques larmes commencent à couler sur ces joues puis ces larmes se multiplient peu à peu et finalement des flots de larmes viennent couler sur son visage.
L’homme en blanc sort de la salle en disant à Annie.
- Venez me voir quand vous vous sentirez prête
L’homme en blanc retourne s’assoir derrière son bureau. Le cas d’Annie le dérange tout particulièrement. Les deux premiers avaient vu leur mort arriver et ne désirait que vengeance. Ils étaient simples. De plus Annie avait été trahit par l’être qui était le plus cher à ses yeux une trahison bien plus douloureuse que celle endurée par Kenji ou Bill. Une dizaine de minute plus tard Annie pénétrât dans le bureau.
- Je n’irais pas par quatre chemin que voulez-vous de moi ?
- Je ne peux pas vous apportez de vengeance. Le libérateur est réellement devenu seigneur de la terre et sa mort aurait une chance de déchirer le tissu espace-temps. Si vous vous demandez ce que sa provoquerait je vous dirais la fin du monde ainsi que ma mort.
- Je réitère ma question.
- Je monte en ce moment même une équipe pour empêcher que ce genre d’incident se produise et ils ont besoin d’un scientifique. De quelqu’un qui leur fabrique des armes, qui guérit leurs blessures, qui pirate les systèmes ennemis.
- Je gagne quoi si j’accepte.
- Vous quittez une mort morne et froide et vous gagnez la chance de sauver une nouvelle fois des milliards d’innocent. Et aussi un univers personnalisé complétement aménageable qui contiendra tous ce que tu souhaite
- J’accepte à une condition.
- Laquelle ?
- Laissez-moi créer une machine pour modifier mes souvenirs. Je veux que ma mort soit réécrite.
- C’est un bien triste choix mais je te l’accorde. Bienvenue dans l’ultime équipe.
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fachoul
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyJeu 1 Mai - 16:05

je savait pas trop quoi écrire alors j'ai reprit sa. en route donc.

Chapitre 4 Comme aux caraïbes

Après un autre roulis le boulet qui s’était finalement stabiliser au milieu de la salle parti rouler une nouvelle fois vers un de bords. Et il heurta encore une fois le bord du navire mais peut-être un peu plus fort cette fois ci car il réveillât Samuel. Ainsi « quel est le fils de catin qui a remonter un boulet jusqu’as cet étage » fut la première pensée intelligible de Samuel. Un coup d’œil rapides aux hommes endormis dans les hamacs et la luminosité lui apprirent que le jour était loin d’être levé.
Samuel était un colosse de près de deux mètres. En vérité c’est un ancien esclave noir qui a un jour troqué ces chaines contre la dangereuse vie de pirate. Le crnne entièrement chauve et les idées durcie par des années d’esclavage c’était quelqu’un de plutôt rationnel voir fataliste.
Après avoir slalomé silencieusement entre les hamacs il grimpât les quelques marchent de bois qui le menait au pont. Un peu d’air frais lui ferrait surement le plus grand bien. Dès que son pied nu touchât le sol du pont tous ses sens s’éveillèrent. L’odeur de la mer l’odeur du sel. Le gout indéfinissable de cette air frai et pur. Le bois mouillé sous c’est pied et le léger roulis du navire. Le son. Le son des vagues le son de la mer le son du bateau qui crépite sous l’assaut des vagues et le son... d’un chant ?
Samuel tournât lentement la tête ver la barre et y aperçut comme il l’avait redouté Aria. Au fur et à mesure que ses pas de loups le rapprochaient de la poupe du navire la chanson se fit plus distincte. « De l’or de hommes et du rhum non de dieux ». ivre morte comme à son habitude.

- Tient mais qui voilà. Sa serait y pas mon lieutnant préférer ?
Samuel monte les escaliers qui le conduise a la barre et vient se placer face a Aria
- Te voilà dans un bien bel état
- J’ai jamais eu les idées aussi claires
- Tu es complètement ivre Aria
- Et alors ? l’un n’empêche pas l’autre si ?
- Je supose que non. U devrait aller dormir
- Depuis quand on donne des ordres a son capitaine
- Aria nous sommes en fuite dieux seul sait sur quoi nous allons tomber demain
- Je suis la seule maitre a bord avant dieux et je te dis qu’en continuant vers là on tombera sur trois galions espagnols pas plus tard que demain matin.
- Et tu comptes faire quoi face a trois gallions ?
- Cette nuit je pars avec quelques hommes dans une barque on approche des navires ont les rejoints à la nage on en infiltre un ont le réquisitionne on fait comme si de rien était et des qu’ils vou attaques on se retourne contre eux. Sa fait du deux contre deux c’est jouable.
- Aria j’en ait entendut pas mal des plans foireux mais celui-là est complétement…
- Complètement quoi mon cher Sam
- …
- Dit le !
- Stupide est dangereux.
- Précisément. Et qu’est-ce que je dit toujours ?
- Dès qu’une idée te parait stupide est dangereuse fait la sur le champ
- Voit –tu abandonner mon titre de noblesse pour partir mener une vie de pirate était on ne peut plus stupide et dangereux et je m’amuse follement. Libéré un esclave était parfaitement stupide et dangereux. J’y ait gagner le plus fier combattant le plus fidèle second et le meilleur coup au lit que j’ai jamais connu.
- Attaquer un navire de la noblesse espagnole était une idée stupide et dangereuse et voie ou on en est. L’équipage s’inquiète Annie certains perde fois en toi. Je les remotive de mon mieux mais il devient de plus en plus compliqué de les convaincre.
- Bande d’ingrat je connait chacun d’entre eux jusqu’as la plus petite parcelle de son anatomie je suis passé au moins dix fois sur chacun d’entre eux et voilà qu’il en vienne a ne plus me faire confiance.
- Annie
- Oh ne prend pas cet air je ne fais que m’amuser avec eux après tout il est bon de changer d’air. Mais cela ne change rien à mes sentiments pour toi.
- En tant que second je me doit de te dire que…
- EN TANT QUE SECOND TU TE DOIT D’OBÉIR A TON CAPTAINNE. Et de mon coté je me doit en tant que capitainne de protéger mon équipage de mon mieux. Et maintenant je vait aller me reposer dans ma chambre et te vas me rejoindre car j’ai besoin de détendre avant l’excursion de tout à l’heure. Je t’attendrait sur le lit comme d’habitude.

Après quelques instant de plaisir partager avec Samuel Aria se rhabilla d’une tenue légèrement et partit vers la cale. Là elle passa en secouant un hamac a trois reprises pour réveiller un homme a qui elle fait signe de monter sur le pont.

Une fois tous sur le pont Annie fit un bref discours
- Messieurs si je vous ait fait venir ici aujourd’hui c’est par ce que vous êtes les meilleurs nageurs de cet équipage. Nous allons prendre une barque je vous expliquerez la suite plus tard.

Tous les quatre mirent ensembles un canaux a la mer et commencèrent a rame ver la direction indiquer par Aria. Au bout de dix minute l’ombre des galions se fit voir au loin. Cinq minutes plus tards elle était plus que distincte.
- Bien nous allons nager jusqu’à ces galions sauf toi Jess tu ramène le canot au bateau.
- Tout habillée ce n’est pas pratique sa te dis pas de te dévêtir un peu Aria ?
- Devant vous sa serrait pas la première fois bande de porc mais je ne compte pas envahir ce bateau sans mon sabre et mon flingue.
Les trois silhouettent descendirent du navire et nagèrent vers un galion. Là Aria s’accrocha à une des échelles de corde et commença a gravi le navire suivie de ses deux hommes. Une fois presque bout elle passa brièvement la tête au niveau du pont du navire et observa les mouvements de ronde du garde. Elle attendit brièvement en guettant le bruit des pas jusqu’au moment où elle se jeta sur le pont tout en sortant son poignard. Elle égorgea l’homme de garde sans qu’il ne puisse donner l’alerte puis fit signe a ses homme de monter. Une fois ceux-ci sur le pont elle commença a marcher mais elle ressenti une sensation désagréable elle se retourna et vit un pistolet pointé sur elle.
- Peut être que les espagnols nous épargnerons si on te livre.
- Ecoute Will t’es un bon gars et je te jure mon plan peu marcher. Sa sert a rien de me menacer je m’attaquerais pas à quelqu’un de mon équipage de toute façon.
- Tu n’as pas compris Aria. Je ne suis plus de ton équipage.
- Dans ce cas
D’un geste ample Annie sortit sont sabre et trancha la main de Will avant qu’il n’ait pu réagir. Elle lui transperça ensuite le cœur avant qu’il n’est le temps de crier.
- Pas un coup de feu pas un cri ou ils viendront idiot. Et toi Éric ? mon meilleur bretteur a-t-il une objection à faire ?
- C’est pas contre toi Aria j’essaie juste de sauver ma vie
- Et moi celle de mon équipage dont tu fais partie aux dernières nouvelles.
- Désolé Aria je quitte l’équipage
L’homme dégaina sont sabre et tenta un coup d’estoc qu’Aria para immédiatement. Les deux entrèrent alors dans un duel de sabre parcourant le pont de long en large. Aria finit par désarmer l’homme et lui plaque la lame sur le coup.
- Ecoute moi bien Éric je ne veux pas te tuer mais s’il te plait baisse tes armes.
- Trop tard Aria
A ce moment des soldats affluèrent de la cale et pointèrent aria de leurs fusils. Aria lâcha ses armes et pointe leva les mains au ciel. L’homme s’approchât de lui et lui murmurât a l’oreille
- Désolé de te dire sa Aria mais tu es folle et dangereuse
L’homme sortit un poignard et sans plus de cérémonie transperçât le cœur d’Aria

Aria se réveille allongée avec une horrible douleur au torse. Elle regarde sa blessure ou du moins elle essai ca la blessure semble avoir disparu. Après quelques instants de confusion elle sentit une odeur de tabac. La salle dans laquelle elle se trouvait était petite intégralement blanche et vide a l’exception d’un homme qui s’y tenait assis contre un mur.
- Oh pardon. Annie me cherche et comme personne vient jamais ici je me suis dit qu’elle penserait pas à venir m’y chercher.
- On est ou la ?
- C’est pas à moi de te le dire le patron se réserve se droit exceptionnel. Passe la porte et il t’expliquera.
- Passe-moi une pipe tu veux.
- J’ai que des cigarettes
- Des quoi ? enfin bon envoi toujours.
Aria met la cigarette e bouche et l’allume avec un briquet sommaire.
- Bon allons voir le boss
Elle franchit la porte de la salle et atterrit dans un bureau tout aussi blanc. Sans plus de manière elle va s’affaler sur la chaise en face de l’homme en blanc.
- Alors comme sa c’est toi le capitaine des lieux ? il parait que tu veux me causer.
- En effet j’ai un marcher pour vous.
A ce moment bill sort de la salle et traverse le bureau comme si de rien était.
- Avant toute chose laisser moi me présenter Edouard temps
- Aria. Capitaine aria
- Vous êtes une pirate n’est-ce pas ?
- Absolument. Et pas une des moindre
- Bien on va faire vite et je ne poserai même pa les cinq questions au point où on en est de toute façon donc contentons-nous de la dernière question. Que veux-tu ?
- Ben si vous me faite sortir d’ici assez vite j’irais bien sauver mon équipage
- Une noble quête assurément mais croyez-moi ici le temps n’a aucune importance. Mais je peux t’aider à les sauver. Je peut aussi e donner tout ce que tu désire
- En échange de ?
- Rejoint l’ultime équipe

Fin du chapitre

- Et c’est quoi ce job au juste
- On a dit fin du chapitre Aria il le sauront bien assez tôt
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fachoul
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyLun 19 Mai - 16:09

Chapitre 5 faster than light

Planète terre base militaire de Samina quelques part dans un désert.
Sam parcourrait à pas lents un des nombreux couloirs du starsheap UFA. Les couloirs de métal éclairés de néons bleu l’avaient toujours aidé à faire le vide dans son esprit.
Au détour d’un couloir un homme lui signale.
- Monsieur Mayelle votre réunion et dans dix minutes.
- Je sais mon cher je sais. – réplique le général d’un ton las
La situation était critique. Oh ce n’était pas la guerre qui opposait le système Gaïa a l’alliance d’Akarov (les deux habitait par des humains la vie extraterrestre n’est connue que sur une micro planète et seul un peuple très peu civilisé y vit) qui le stressait. Là-dessus il avait sa stratégie. Sa stratégie. C’est elle qui a fait de lui tout ce qu’il est devenu. Il connait chacun de ses hommes chacun de ses ennemis il ne fait pas par rapport aux troupes en générale mai bien par rapport au mode opératoire de ses ennemies et à celui de ses hommes. Il avait étudié l’histoire depuis sont plus jeunes âge et se passionnait déjà pour les stratégies de bataille de toute époque. Il s’est avéré que s’était un domaine où il était plutôt douer. Il n’avait jamais été soldat et était entré dans l’armée directement en tant que grader. Aujourd’hui il était général de la flotte du système de Gaïa.
Sam mesurait environ un mètre soixante-dix il avait les cheveux châtain. Il portait de fine lunette et avait un visage allongé. Il était plutôt fin et ne semblait assurément pas musclé. Ses traits étaient fin mais son visage n’était ni allongé ni anguleux. Il portait une tenue militaire blanche et rouge comportant un long manteau descendant jusqu’as ces pieds.
Il commença à arpenter le couloir vers la salle de réunion en continuant de réfléchir. La guerre ne l’inquiétait pas oh non le problème venait de son camps. Depuis un mois la confédération Gaea n’as pas gagné une seule bataille il y’avait forcément un traitre au haut conseil. Et il avait son idée sur le coupable.
Il finit par arriver près de la salle de réunions après avoir retourné la situation dans tous les sens. Là il rencontra John Johnson un secrétaire déléguer au ministère de l’armée (oui sa existe dans le futur si je veux d’abord).
- Ah voilà Sam Mayelle notre meilleur tacticien
- Monsieur Johnson. que me vaut le plaisir de vous voir avant la réunion ?
- Et bien je me disais simplement qu’il serrait agréable de partager une poignée de main avec un homme de votre acabit.
- Avec plaisir.
Au moment où Johnson tend la main Sam la saisi fermement de sa main gauche et l’écarte violement. Il attrape un petit cube de métal a sa ceinture et le secoue. Après de multiple transformation le cube se transforme en un petit pistolet que Sam brandit sous la gorge de son adversaire. Sam regarde ensuite la man de John et observe la minuscule pointe qu’elle contient.
- Je vois un dard empoisonné, je dois dire que vous me décevez je m’attendais a plus de finesse de votre part. e maintenant si vous e permettez nous allons attendre les gardes.
- Avec plaisir.
Un garde arrive. Sam ouvre la bouche pour lui parler mais aussitôt le garde sort un pistolet et le vise.
- Qu’est-ce que ???
- Oh. C’est fâcheux, il semblerait que les gardes de la zone soient sont sous mes ordres. Ils semblerait que tout t’accuse de tentative de meurtre a présent. Les vidéos seront vites trafiqués. Donc ce qui va se produire n’est que de la légitime défense.
- Et bien puisque tout m’accuse.
Sam tire une balle dans le menton de Jones et commence à courir vers le couloir le plus proche. Là il laisse tomber une petite sphère qui libère un immense flash lumineux. Une foi le flash passé un champ de force orangé bloque le passage vers le couloir.
Sam courre à en perdre haleine tout en analysant la situation. L’alerte a dut être donné c’est évident donc toute la station doit être à ses trousses pour trahison. Il arrive à un premier croisement. En face ce sont les hangars, l’unité de sniper de Becket doit l’attendre. Le lieutenant Becket est un bon gars mais il obéît aux ordres aucune chance de s’en tirer par là. A droite c’est pire encore la salle de repos et par la aller en ce sens c’est tomber sur des centaines de militaires armés jusqu’aux dents. Aucune chance par là-bas non plus donc. Quant à la gauche inutile d’y penser c’est la salle d’entrainement et a cette heure six les artilleurs doivent y être par dizaine. Inutile également de penser aux conduits d’aération c’est étroit, bruyant, et assurément pas discret. Rester ici est également la mort assuré le champ de force ne devrait pas tenir deux minutes de plus. Sam prit la puce électronique contenant son plan et l’écrasa au sol. Maintenant le plan n’était plus que dans sa tête et le fallait venir le chercher. Il revint sur ses pas l’effet de surprise était sa meilleure arme. Il sortit son pistolet et tirât un coup de feu à l’aveugle puis s’allongea. Une pluie de plomb vint inonder l’endroit où il se tenait précédemment. A l’instant précis ou les soldats cessèrent le feu et commencèrent à recharger il se releva et couru aussi vite qu’il le put vers la source des coups de feu. Il asse au travers des lignes ennemies tentant tant bien que mal de faire tomber les armes des gardes. Il arrive dans un couloir face à une porte de sortie. Il jette un autre champs de force a l’entrée du couloir et un non transparent cette fois. Dehors un cordon de mitrailleur l’attend et il le sait pertinemment. Il s’arrête juste devant la porte et tape un code étrange. Un pan du mur se décale pour laisser apparaitre un écran et un clavier numérique. Il tape les chiffres 198453 le mur se décale légèrement il ouvre la porte vers l’extérieur de la base d’u grand coup de pied. Il se jette ensuite dans le petit couloir qui vient de s’ouvrir et le mur métallique se referme derrière lui.
Sam connaissait parfaitement l’architecte des lieux et il avait explicitement demandé quelques passages de ce genre connus de lui seul. Cela dit le sien n’allait pas tarder à être découvert. Il avait tout de même une salle ici ou il pouvait communiquer en toute sécurité avec les instances supérieures. Il avance pas a pas dans le couloir et finit par tomber nez à nez avec un blaster.
- Echec et mat mon cher
- Makarov l’homme a la tête du complot.
- Oh bravo Sam sans même voir mon visage. Comme on pouvait s’y attendre de ta part.
- On peut savoir comment tu connais cet endroit ?
- Non
- Bon et bien je supose que ce fut une belle partie
- Un dernier mot avant de mourir ?
- Connard
- C’est pas très classe mais on ferrât avec.
L’homme tire un coup de blaster qui vient littéralement faire exploser le crane de sam.


Sam se réveille avec une terrible migraine. Il est dans une petite pièce entièrement blanche et lumineuse. Il franchit la seule porte qu’il trouve et se retrouve dans une pièce plus grande mais tout aussi blanche. Derrière le bureau se tient un homme avachi su la chaise ses pieds qui portent des bottes a éperons sont confortablement installés sur le bureau. Un homme en jean chemise à carreau et chapeau adresse la parole a sam.
- Désolé le patron est partit régler un truc avec Annie tu peut patienter deux minutes je vais le chercher.
- Euh oui d’accord.
L’homme sort et quelques minutes plus tard un autre homme vétut d’un costard blanc impeccable entre dans le bureau.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Euh ben je suis mort je crois.
- Oh vous savez c’est pas si grave sa arrive à tout le monde.
- Je suppose que vous avez raison. Mais habituellement c’est un état plutôt irréversible non
- Habituellement oui mais vous êtes quelqu’un de spécial
- Ah ?
- Ben oui sinon vous seriez mort.
- Si vous le dite.
- Bien. Quel est votre nom ? D’où venez-vous ? De quelle époque venez-vous ? que voulez-vous ?
- Mon nom et Sam Mayelle je viens de la terre dans la confédération de Gaia nous sommes en 2754 et je veux juste porter un message.
- Et bien Sam si tu oublies ton ancienne vie et que tu te dévoue entièrement a ma cause je te permettrais de porter ce message.
- Et c’est quoi votre cause exactement ?
- Sauver le monde.
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyVen 23 Mai - 11:51

bon allela série commence réellement

Chapitre 6 : Bienvenue à Étheria

Edward Temps sort de son bureau d’un pas presser. Il est toujours vêtu de son costar blanc. Derrière la porte de son bureau se tenait un long couloir qui semblait s’étendre jusqu’as l’infini de chaque coté. Devant lui se tenait une autre porte. Une porte de marbre blanc. Sur cette porte est marqué un mot "temps". Il prend vers la gauche et parcours le couloir. Il arrive à une porte faite en plaques de métal soudé les unes aux autres. Sur cette porte on distingue l’appellation "laboratoire" caché sous une multitude de panneau indiquant du danger un milieu radioactif ou encore des produits corrosifs.
Edward franchit la porte du laboratoire et se retrouve dans une salle dont la taille approche celle d’un stade de foot. On aperçoit partout une quantité d’appareils électroniques aux utilités indéterminés. Des panneaux indiquant des directions différentes sont pointés à intervalles régulier. Zone physique, zone chimie, zone biologie, zone électronique. Et dans chaque section on en trouve d’autre comme zone microbiologie, croisement d’espèce végétale, croisement d’espèces animales, zone clonage. Edward ne se préoccupe pas une seule seconde des panneaux et crie d’un ton peut sur. Partout sur les bureau on trouve des papiers avec des calcules compliquer tel que "992265=5x x=198453".
- Annie ? avance Joseph d’un ton peu assuré
Seule le silence et le ronflement de quelques machines l’informent que l’intéressée n’est visiblement pas présente. Edward referme la porte sans plus de cérémonie et se dirige vers la porte d’en face bâtie dans le même style que celle du laboratoire. Là il frappe trois coups parfaitement réguliers. Après quelques instants de silence et en absence totale de réponse il franchit le seuil de la porte. Il se retrouve alors dans une salle minuscule. Les murs et le plafond sont de béton tout comme le sol. La majeure partie de la salle es occuper par un matelas posé a même le sol. Les murs sont couverts d’affiches pour des revues scientifiques la pluparts montrant Annie et George. Il n’y a qu’une mince étagère ou quelques vêtements s’entreposent aux coté de livres de science. Sur le lit traine une vielle peluche miteuse.
Edward retourne bredouille dans le couloir et se dirige tout droit vers une autre porte un peu plus loin que celle du laboratoire. Une grande porte de bois rouge qui doit faire quatre de mettre de haut pour deux de large. Il est marqué en lettre tordues l’inscription Kenji sur la porte. Le sommet de la porte forme une arche. Deux butoirs représentant des dragons dorés tenants un arceau dans leurs gueules servent d’aide pour pousser la porte. Il frappe trois cous toujours avec cette régularité chronométrée qui le caractérise puis ouvre la porte. Celle-ci mène vers une grande salle de marbre blanc. A sa droite e à sa gauche des colonnes se dressent et vont se perdre vers un plafond situé six mètres plus haut. Derrieres les colonnes deux escaliers courbés montent vers un étage. Le tout réalisé dans une architecture typique du japon féodal.
- Kenji ?
Face à l’absence totale de réponse Edward avance directement vers l’extérieur du palace. Il se retrouve dans un escalier de marbre surveillé par deux statues de lion dorés. De la il voit parfaitement le jardin un peu plus bas. Un petite ruisseau le parcours et passe près d’un cerisier en fleur. Un peu plus loin et contre toute logique apparente une fontaine illustrant des poissons orne le jardin. Plusieurs gros poissons rouges nagent dans la fontaine. Quelques mannequins d’entrainement sont disposés un peu partout. Une muraille de trois mètres de haut fait le tour du jardin et du manoir. Le tout sur le sommet d’une montagne qui laisse voir un paysage magnifique composé d’autres montagnes et d’une vallée verdoyante en contrebas. Seul un escalier monumental semble mener vers la vallée, celui-ci décent sur plusieurs millier de marche vers un foret luxuriante. Mais Kenji n’est visiblement pas là. Il n’a pas le droit de descendre dans la vallée sans permission et ce n’est pas le genre de Kenji de désobéir
Edward retourne dans le couloir et sans se décourager franchit la porte d’en face ou est marqué "cantine". seule une petite salle entièrement blanche ou est placée une petite table de verre ronde se révèle a lui. Edward referme la porte sans plus de cérémonie puis dit tout haut.
- Tient d’ailleurs une pomme me ferrait le plus grand bien.
Il rouvre la porte et se retrouve dans la même salle mais cette fois ci une pomme est posée sur la table. Il la prend et croque à l’intérieur puis continue son chemin à travers le couloir tout en mangeant. La porte suivante est faite de bois marron. Elle est ornée d’une inscription en lettre d’or "Aria". Edward frappe quelques coups à la porte mais une fois de plus aucune réponse ne lui parvient. L’homme pousse donc la porte pour se retrouver dans les cales chargées d’or d’un galion. Des triples canons dorés à la feuille d’or sont disposé parfaitement alignés de chaque côté de l’homme. Edward ne s’attarde pas le dessus et monte sur le gigantesque pont du navire. C’est un trois mats dont toute les pièces de la magnifique figure de proue représentant une sirène jusqu’as la barre du navire qui représente un kraken qui écarte se tentacules semblent avoir été réalisé par un maitre ébéniste. La coque elle-même est sculptée dans des bas-reliefs représentant un immense tableau depuis le bas ou de minuscules vagues sont sculptées jusqu’à son sommet ou l’on peut voir gravé des oiseaux ainsi que la cime de quelques palmiers. Les rambardes elles-mêmes sont couvertes de bas-reliefs. Le bateau est encré sur une petite île. Sa plage est faite de sable fin et le reste ne semblent être qu’une jungle épaisse. Seul un immense rocher en forme de tête de mort surplombe les plus aux arbres de la jungle. Un décor en somme tout à fait fantaisiste mais qui correspond aux rêves d’Aria. En dehors de l’île l’horizon n’est qu’océan à perte de vue. Edward vérifie le nombre de canots mais ils sont tous là. Aria est donc ailleurs.
Edward repart donc dans le couloir et part en face pour arriver face à l’avant dernière porte. Une porte de métal blanche. Seul un hublot bleu et rond orne la porte à hauteur d’homme, le reste est absolument lisse. On peut lire sur le hublot "Sam Mayelle". Edward entre cette foi sans frapper. Il arrive dans une pièce au sol et au plafond de métal. Les murs eux sont de verre et laisse voir l’espace. Ses planètes ses comètes et ses étoiles filantes. La pièce elle-même est plutôt simple il n’y as pour tout dire qu’un lit accrocher au plafond et tous les rangements semblent être des tiroirs qui descendent du plafond. Le sol lui est infranchissable. Il est couvert partout de figurines que se livrent a des batailles. Il semble y avoir une dizaine de batailles en cour comme s’il avait interrompu chacun d’entre elle pour passer à la suivante. Les figurines sont de toutes sortes et vont des combattants médiévaux avec chevaliers et catapultes aux vaisseaux spatiaux sur une autre en passant par des figurines représentant des créatures fantastiques ou des soldats napoléoniens. Le seul endroit de la pièce qui n’est pas couvert de figurines est un bureau au-dessus du quel flotte des noms de jeux en hologramme. Parmi les jeux on note "Age of empire oméga" ou "civilisation 254". Edward quitta la salle Sam n’est visiblement pas là.
Il se dirige donc vers la dernière porte. Des planches de bois usées cloutés les unes aux autres de manière grossière. Il redoutait déjà ce qu’il allait voir. L’homme pousse un long soupir avant de murmurer.
- Puisqu’il faut y aller.
L’homme relie une dernière fois l’inscription sur la porte. "Bill".
Il franchit la porte d’un pas peu assuré. Il se retrouve dans une maison de planche a l’ai vieillot. Un lit de métal rouillé trône dans un coin de la pièce. Le reste du mobilier est composé de meubles de bois grossiers comme une table une chaise et un vaisselier. Une casserole et des outils de cuisine sont attachés au plafond. De ci de là sur les murs ont peut apercevoir des affiches. L’une d’elle affiche "Wanted Bill 100 000$". Un montant abusif a l’image de l’égo de Bill. Sur une autre on peut lire "Wanted Suzanne 50 000$" un couteau est planté dans cette affiche la et on remarque plusieurs autres entailles. Face à Edward se tient le mur d’entré ou il y as une autre porte et deux fenêtres salles et cassées. Edward franchit la porte est raterait au cœur de l’ouest sauvage. Un cheval et quelques vache trainent dans un près d’herbes jaunes clôturé d’une barrière de bois. Au-delà le désert s’étend a perte de vue et on aperçoit des falaise au loin. A mètres d’Edward se tient une autre maion bien plus grande ou l’on peut voir une enseigne "Billi’s saloon hotel" des rires viennent de l’endroit. Quelques rires viennent du Saloon.
Remontons un peu le temps (avouer que dans cette série nous pouvons bien nous le permettre) et revenons sur les évènements d’Étheria quelques heures plus tôt.
Bill entre dans le saloon et se sert un ver de whisky il se dirige ensuite derrière le comptoir et s’accoude a celui-ci. Il contemple son saloon vide et pousse un long soupir. Il sort un téléphone de sa poche. Annie en avait donné un à tout le monde quelques jours plus tôt mais il avait toujours du mal avec les subtilités de la technologie. Finalement il se penche et active frénétiquement sur bouton sous son comptoir. Un message en morse part le long d’un fil tendu et le télégraphe le transmet et part vers l’infinité de la dimension désertique de Bill

"Rooooooooxaaaaaaane" chante Annie à tue-tête "you don’t have to were that dress tonight" la chanson de police retentissait dans les baffles du laboratoire. Annie était en train d’apporter les dernières modficatin sous son nouveau véhicule quand tout à coup la musique s’arrête et les baffles transmettent un message ?
- Télégraphe en arrivage
- Tient sa doit être notre cowboy. Si on m’avait dit un jour que je recevrai un télégraphe inter-dimensionnel ! George lire télégraphe.
- Court long court court
- En français George
- Hallo Annie c’est Bill tu peux m’appeler stp
- Apelle cet imbécile George.
Pendant ce temps à quelques mètres dans une autre dimension un téléphone sonnait dans la poche d’un cowboy. Bill sort le téléphone de sa poche et répond.
- Annie ?
- Pourquoi tu ne m’as pas directement appeler
- J’ai oublié ton numéro
- Le 3. On est que cinq et mon numéro à moi c’est le 3
- J’essaierais de le retenir
- Bon tu voulais quoi ?
- Ben je m’fait chier tout seul. Je sais bien que t’es hyper occupé avec des trucs incompréhensibles mais je me disais que si tout le monde pouvait venir dans mon saloon on pourrait s’amuser.
- Ben sa tombe plutôt bien je viens de finir une petite surprise pour toi. Prévient Aria et Kenji je me charge de sam.
- Ok rendez-vous chez moi dans une heure.

Sam s’adonnait à une nouvelle bataille stratégique contre son holoémetteur quand Annie apparait sur celui-ci.
- Annie ! que me vaut le plaisir a une heure pareille ?
- Il n’est que quatre heure de l’après midi
- Chez moi 3 heures du matin Annie nous ne sommes pas dans la même dimension.
- Faudra qu’on pense a les régler sur la même heure.
- Juste mais ça ne répond pas a ma question.
- Ben je crois bien que c’est le début d’après-midi chez bill et il voudrait qu’on aille tous au saloon.
- Bien sa nous permettra de régler les problèmes temporels de cet endroit j’arrive.
Quelques dimensions plus loin dans un galion abordant fièrement un étendard a tête de mort. (Aria n’applique pas cette pratique dans la vrai vie en effet s’afficher avec marqué en gros JE SUIS UN PIRATE n’est pas des plus sûr pour une question de sécurité mais dans cette endroit elle peut bien se le permettre). Aria s’entraine sans relâche au maniement du sabre. Sa lame semble animé d’elle-même tant elle vole avec grâce et légèreté. Elle interrompt sa transe guerrière et vient se positionner face à l’ile les coudes sur la rambarde sculpté du bateau. Elle contemple le paysage ainsi offert en abandonnant a ses pensées. Un spectacle magnifique assurément, il ne manquait que Samuel. Le cours de ces pensées fut interrompu par une vibration dans sa poche. Aria sort son portable et décroche. Une voie lui demande d’un ton peu sur.

- Allo Kenji?
- Non bill ici c’est aria le numéro de Kenji c’est le 2
- Autant pour moi.
- Pas grave au revoir.
- Non attend je dois te parler aussi !
- Oui ?
- J’invite tout le monde dans mon saloon cet aprèm. Si on doit e battre ensemble autant apprendre à se connaitre non ?
- Ouai t’as pas tort. J’arrive.

Quelques mètres plus loin, quelques secondes plus tard, quelques dimensions a côté.
En tailleur sous son cerisier Kenji méditer calmement pour faire le point sur les évènements présents. Il se concentrer sur tous ces sens. La vue, le magnifique spectacle qui s’offrait sous ses yeux. L’ouïe, le bruit du ruisseau qui ase près de lui et du vent dans les arbres. L’odorat l’odeur de cerisier qui parvient jusqu’as ces narines. Le toucher, la sensation des vêtements sur sa peau, du vent qui balaie son visage, des vibrations dans sa poche. Des vibrations dans sa poche ?
Kenji décroche le téléphone est répond légèrement irrité.
- Oui ?
- Salut Kenji c’est Bill.
- Que puis-je pour toi ?
- Sa serrait sympas si tu pouvais passer au saloon tout le monde vient.
- Je suis occupé ailleurs désolé.
- Allez y’as de l’alcool et des cartes ici.
- Non vraiment. Mais merci tout de même.
- Si on doit combattre ensemble autant apprendre à se connaitre non ?
- J’ai été tué par le dernier homme avec qui j’ai combattu.
- Comme nous tous ici et c’est pour ça que j’espérais que tu viendrais. Ici t’as plus à te soucier de sa et si ça te préoccupe tant parle nous en on est tous passer par là tu sais.
- Tu as peut-être raison. J’arrive.

Bill raccroche le téléphone (et oui on change de dimension sans prévenir maintenant) et contemple son saloon. Il manque quelque chose il ressort du saloon visualise un piano et rentre à nouveau. Un piano ornait le coin de la salle. Voilà qui est mieux.
Les quatre autres arrivent à quelques secondes d’intervalle. Tout d’abord Sam et Aria en train de porter un étrange pavé métallique puis Annie et Kenji portant tous deux un étrange pavé métallique.
- C’est quoi ça ? – demande bill
- Aucune idée – répond Aria – Annie nous a demander de l’amener.
- C’est pas encore une de tes inventions dit ?
- T’en fait pas bill c’est pas moi qu’ait inventer ça. Même si c’est moi qui les ait bricolé et amélioré.
- Et c’est quoi ces trucs au juste ?
- Ben j’ai voulu mettre un peu d’ambiance tout en restant dans l’esprit du far West. Alors j’ai conçu un jute box spécialement pour toi.
- Annie le far West je connais bien et je te garantis d’où je viens, sa, sa existe pas.
- Oui mais je ne pense pas que ça va dénoter tient mais le dans un coin.
L’équipe ose donc le jute box contre un mur de la salle
- Ouai c’est pas moche mais ça sert à quoi.
- Tu comprendras dès que j’aurais posé les micros en attendant allait poser la borne d’arcade en face.
- A ouai en fait t’as mis quel jeu ? – demande sam
- Un peu de tout en fait. Y’as menu par genre et n autre par ordre alphabétique.
- Cool on va pouvoir s’amuser.
Tout en discutant Annie colle des petites sphères noire a des endroits stratégique du saloon.
- Je vous présente le premier jute box a commande vocale de tous les temps !
- Mais encore ? – demande bill incrédule
- Démonstration. Patt woods « poor and lonesome cowboy »
(http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&ved=0CDkQtwIwAQ&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DIqwWSPksmEg&ei=4fh6U4fYEcWr0QWnqIDoDQ&usg=AFQjCNHZlWuKg_dmm6mAQ6RJnGsCHsYg2g&sig2=gtJ8di1AuyRL7wJDkcBqEw&bvm=bv.67229260,d.d2k)
Les micros disposés dans le saloon diffuse un rythme lent et poser et les baffles commencent a chanter.
« I’m poor and lonesome cowboy. I’ve a long long way from home »
- Hey pas mal du tout. Sa fait bien l’ambiance saloon. - Dit bille en sortant une cigarette.
- Sa c’est pour moi cowboy – dit Annie en lui arrachent la cigarette des mains
- Une scientifique qui fume ? – s’exclame Sam étonné.
- La d’où je viens on est pas sûr de vivre un jour de plus alors mourir d’un cancer dans vingt ans on s’en moque totalement.
- Si tu pouvais arrêter de me voler mes clopes. – argumente bille en s’en rallumant une.
- Sans vouloir casser l’ambiance. – les interromps Sam – je voudrais régler les quelques souci qu’offre la vie en Étheria. Et sa commence par établir une heure et un calendrier commun à toutes les dimensions.
- Il est vrai que le soleil se couchai sur mon palais quand je l’ai quitté. – remarque Kenji
- Chez moi le soleil venait de se lever – ajoute aria
- Quant à moi l’horloge du labo indiquait quatre heures de l’après-midi. Chez Sam il est deux heures du matin et le soleil ici vient a peine de quitter son zénith – conclut Annie
- Je propose que tout le monde remette son heure à midi. Et pour la date je propose de décréter que nous somme en le premier Bill 0. L’année conte 5 mois 73 jour ce qui fait 365 jours en un an comme sur terre. Les mosi sont le mois de Bill le mois de Kenji le mois d’Annie le mois d’Aria et le mois de Sam. Le calendrier débute aujourd’hui. – avance sam
- Vous avez murement réfléchit à la question on dirait – remarque Kenji
- En effet on peut dire cela. Quelqu’un y voit une objection ?
Un long silence suit. Bill l’interrompt depuis derrière le comptoir.

- Le nouvel an ça se fête. Qui veut un whisky ?
- Non merci matelot je tourne qu’au rhum.
- Un saké me suffira. Si vous ne connaissait pas le saké il vous faut le gouter.
- Je commencerais par un verre de champagne si Sam m’accompagne.
- A condition que tu partages une bouteille de bordeaux avec moi Annie.
- Prenez ce que vous voulez dans les placards vous savez bien qu’ici il y a tout ce que l’on shouaite.
- - un sourire espiègle se dessine sur les lèvres de Sam - ordinateur thunderstrake ACDC.
Les baffles rugissent la guitare se fait entendre et tous commence à boire et à plaisanter. Sam et Annie discutent a une table les trois autres gouttent les différent alcools sortis du placard. Bill recrache du saké qu’il avait tenté de boire à la bouteille ne comprenant pas pourquoi Kenji l’ingurgite a si pette dose.


Quelques heures plus tard Joseph se tient devant le Saloon. Les seules chose qui s’en dégagent sont la musique de « get around » des Beach boys et une odeur très prononcée d’alcool.
Il entre dans le saloon et assiste à un spectacle étonnant. Kenji joue au poker avec Bill et Aria alors qu’Annie et Sam disputent une partie d’un jeu de figurines étrange.

- Je peux avoir ce que vous faite ?
- On fête le nouvel an mon gars – répond Aria
- Il n’y a pas de temps a Étheria
- Justement c’est plutôt problématique patron doc on a décidé d’instaurer un nouveau calendrier. Explique sam.
- Écoutez, vous pouvez faire ce que vous souhaitez en ce lieux mas je préférerais être informé de ce genre de décision… et de ce genre de fête également.
- Ce qui est fait est fait venait plutôt jouer au carte – dit Bill
- L’heure n’est pas à la fête Bill l’ennemie vient de frapper. Je vous laisse vous reposer ais je veux tout le monde dans mon bureau pour réunion stratégique dans une heure. Sam tu viens de suite j’ai à te parler.

Il est l’heure pour nous de passer à l’action
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fachoul
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MessageSujet: Re: l'ultime équipe  l'ultime équipe EmptyLun 9 Juin - 17:13

chapitre 7 la guerre du temps

Annie avait coupé la musique et un silence de plombs régnait dans le Saloon. Chacun regagna sa dimension sans un mot excepté Bill qui resta au saloon et Sam qui suivit calmement Edward jusqu’à son bureau.
Une fois dans la pièce d’un blanc immaculé Sam se tint dans l’entrée et Edward vint s’asseoir derrière le bureau.
- Eh bien Sam vient t’asseoir ! – dit Edward d’un ton amical
- Euh vous n’êtes pas vexé ?
- Absolument pas. Mais je tiens à garder de l’autorité auprès de ce groupe.
- Mais pas auprès de moi.
- Pas la peine tu es intelligent, tu comprends ta situation et tu connais ta place.
Tu sais, je comprends votre problème avec ce lieu. Moi-même je n’étais pas glorieux lors de mes premiers jours à Etheria.
- Vous n’avez pas toujours été ici ?
- Techniquement si mais toute éternité à un commencement.
- Tout ceci est plutôt flou.
- Oui je sais on me le dit souvent.
- Vous avez beaucoup de visite ?
- Non pourquoi ?
- Comment pourrait-on alors vous le dire souvent ?
- Disons que lorsque j’en aie on ne manque pas de me le faire remarquer.
Un long silence s’ensuit durant le quel Sam vas s’asseoir.
- Et donc vous m’avez fait venir pour parler de la mission ?
- Non ! du groupe. Te connaissant tu as du faire des recherche sur eux. Mais il est dans ton intérêt de ne pas parler de leurs passés devant eux. Surtout Annie à vrai dire.  Alors qu’as-tu apprit ?
- Rien sur Kenji je le crains. Les ninjas n’était pas connus pour étendre leurs gloires. Aria est une pirate comme une autre qui a semé pas mal de pagaille pendant la deuxième âge d’or de la piraterie dans les Indes. Bill c’est plus complexe il refuse de donner son nom de famille. J’ai d’abord pensé qu’il pouvait être the kid mais cet hypothèse a vite était rejeter. Mas plus le temps passe plus je me demande s’il n’est pas…
- Il l’est. Mais ne prononce pas ce nom ici il pourrait t’entendre.
- Quant à Annie je n’ai même pas eu à ouvrir un livre ou un ordinateur pour la reconnaitre. Mais c’est étrange la façon qu’elle a de raconter sa mort ne colle pas avec ce que dise les livre d’histoire. Elle est Morte empoisonner et pas tuer par un zombie en tentant de fuir.
- C’est surtout d’elle dont je voulais te parler. Tu ne dois jamais lui parler de son passé. Elle a effacé sa mémoire. Dans les souvenirs qu’elle s’est construit elle a fui avec lui après avoir trouvé le sérum mais n’ai jamais ressorti. Oh et celons elle George voulait distribuer le sérum a la population.
- Ceci dit il a regretté cet acte toute sa vie pour rendre hommage à Annie. Il y’as plus de statu d’elle dans le monde que de statue de lui. Plus de portrait d’elle dans son palais que de portrait de lui plus d’article sur elle dans son laboratoire que d’article sur lui. Annie la défunte a été sur autant d’affiche de propagande que le grand libérateur lui-même. Et comme l’a dit l’historien mais aussi écrivain Maxence Dumont en 1402 « la seule chose qui obstinait cet homme plus que le pouvoir était cette femme, mais il ne s’en ait rendu compte que trop tard. »
- Ne dit rien à Annie si tu tiens à elle. Et ne dit rien â Bill si tu tiens à toi.
- Entendu.
- Et maintenant sort de mon bureau et revient tout à l’heure. J’ai à faire.
Sam quitte le bureau en jetant un dernier coup d’œil à la pièce entièrement blanche. Sur le bureau blanc il n’y as qu’un stylo aligné avec une mince pile de papier. Il ne put s’empêcher de se demander sur quoi Edward pouvait bien travailler sans relâche.

Bill, qui n’avait pas vu le temps, passé se précipite dans le couloir vers la porte du bureau. Il arrive essoufflé et constate que tout le groupe est là.

- Vous m’attendiez ?
- On n’ose pas rentré. – dit Annie
- Je ne vais pas me laisser impressionner par une porte. – dit aria tout en levant la main vers celle-ci. Elle s’apprête à frapper quant une voie parvient de l’autre côté de la porte.
- Entrez. – à ce moment la porte tourne sur ses gonds et s’ouvre d’elle-même sans un bruit. – Vous êtes en retard de 3 minutes et 28 secondes. Je ne vous félicite pas.
- Ok, ne refaite jamais sa – dit Bill quelque peu impressionner par la performance.
- Tu n’es pas en position de me donner des ordres Bill. Je peux t’appeler Bill ?
- Je crois avoir déjà répondu à cette question.
- Asseyez-vous je vous en prie.
Le bureau n’avait pas changé d’un pouce si ce n’est qu’Edward faisait maintenant face à eux. Dans son dos ce situe donc la porte vers la salle d’arrivée. Au lieu de l simple chaise habituelle cinq s’y tienne désormais.
- Vous avez tourné votre bureau – observe Annie
- Je n’aime pas tourné le dos au gens.
Les cinq viennent s’asseoir avec du point de vue de joseph de droite a gauche Bill Aria Kenji Anne et Sam.
- Bien je vous aie appelé pour vous parler de votre première mission. Mais tout d’abord je tiens à préciser la tache de chacun d’entre vous dans l’équipe. A commencer par le chef qui sera bien entendu… -A ce moment bill lui coupe la parole-
- Moi. Y’as que moi qu’es la trempe pour diriger cette équipe. Apprendre au soleil de l’Ouest sa vous donne un chef née.
- Toi ? laisse-moi rire t’as déjà du mal à te gérer toi alors gérer des hommes. J’ai dirigé un navire. J’ai eu des hommes. Je sais me battre et je sais motiver des troupes. Je suis le choix le mieux indiqué pour diriger cette équipe.
- SILENCE. Bill un chef se doit d’être diplomate et je ne suis même pas sûr que tu comprennes la signification de ce mot. Aria je suis désolé mais tes méthodes sont… disons peut orthodoxe. Sam lui est un dirigeant né. Il sait se défendre en temps voulut il est sage et diplomate et c’est un excellent stratège. Maintenant si l’un d’entre vous s’oppose à cette décision je l’invite à prendre la porte qui se situe derrière moi.
Bill jette un bref coup d’œil et demande
- Y’as quoi derrière ?
- A toi de voir
- Ok Sam comme chef me conviendra parfaitement.
- Parfait. Il se peut que lors d’une mission vous soyez amené à vous battre. Vous avez tous (ou presque) des compétences de combattants mais il y’as un d’entre vous qui se distingues tout particulièrement. Je parle bien sûr de Bill qui serrât donc l’homme d’action du groupe.
- Encore heureux déjà que je suis pas le chef !
- Avant que tu ne réplique quoi que ce soit Aria je tiens à t’informer du fait que tu participeras a ses missions ou même titre que Bill. Tu es la meilleure combattante à arme blanche du groupe. De plus chaque mission a une potentialité d’échec non négligeable. Dans ce genre de situation la stratégie est inutile. C’est pourquoi Aria je te nomme officiellement gestionnaire des situations d’urgence.
- Un titre qui me correspond bien.
- C’est fait pour. Parfois vous serrez amener à espionner écouter au porte à vous infiltré dans des bâtiments et parfois même à voler. Kenji tu es le mieux placé pour ce genre de mission.
- Il en va de soit maitre.
- Annie tu fabriqueras les outils nécessaires aux missions. Je t’en ait déjà commander quelques-uns et je crois savoir que tu en a fabriquer certains correspondant mieux au style de nos amis ici présent.
- C’est en cour en effet.
- Tu seras également chargée de pirater les systèmes ennemis et donc tu devras parfois avoir recours à l’infiltration. Je connais ta carrière d’actrice et je sais que tu n’auras pas de mal à passer incognito. Sur le terrain tu devrat faire de la diplomatie ou des diversions sa dépendras. J’ai confiance en tes capacités de survie. Quand on a vécu ou tu as vécu on peut bien s’adapter a tout.
- Sa je confirme.
- Quant à toi Sam en tant que chef du groupe tu te dois de rencontré les instances supérieures alliées et parfois ennemie. Tu dois établir des stratégie et ta dernière tache mais pas la moins dur tu dois faire en sorte que les membres du groupe reste coordonnés et suivent le plan.
- Je pense qu’ils vont vite m’apprendre la différence entre la théorie et la pratique.
- Avant de vous donner votre ordre de mission est-ce que quelqu’un a des questions ?
- Oui. Quand vous parler d’instances alliées vous viser quelqu’un en particulier ?  - interroge
- Oui. L’ordre des préveneurs.
- L’ordre de quoi ? – demande Bill
- Les préveneurs sont des gens tout à fait normaux qui ont une vie ancré dans une époque. La seule chose qui différencie les préventeurs des autres est le fait qu’ils sont chargés de surveiller les anomalies temporelles. J’ai créé l’ordre un peu partout dans le monde en 500avJ.C et ils se sont rependus depuis. D’autres questions ?
- Oui et quelques chose de plus concret. Comment nous comprenons nous ?   Je parle couramment 8 langues mais j’ai pour habitude de m’exprimer en espagnol ma langue natale. Bill ne parle qu’Anglais Aria anglais et quelques dialectes indiens. Kenji parle japonais et Sam un langage qui est, à ce que j’ai compris, un mélange de latin et d’anglais. Est-ce qu’Etheria a un effet de traducteur universel. Est-ce que le fait de venir ici nous a rendus capable de parler et de comprendre n’importe quelle langue sans même nous en rendre compte ?
- La vérité est bien plus simple en fait c’est une erreur scénaristique majeure. Je vous prierez donc de ne pas revenir dessus. D’autres questions ?
- Juste une. A quoi sert la porte du temps ? – demande Aria
- Je ne vous direz jamais ce qu’il y a derrière la porte du temps. Sachez simplement que si vous l’ouvrez-vous risquez de ne jamais en revenir.
Je pense que nous avons fait le tour je vais donc vous expliquez la nature du combat que nous menons. Comme vous le savez déjà je suis Edward temps. Ce que vous ignorez en revanche c’est que j’ai un frère, Joseph temps. Passons sur l’histoire quelque peu complexe de notre famille. Il se trouve que moi et mon frère nous possédons quelques dons pour contrôler le temps et l’espace dans certaine mesure. Il se trouve que tous récemment mon frère à décider d’utilisé ses dons afin de, disons dominer le monde. Il cherche à rallier des personnages historiques à sa cause. Face à cette alternative j’ai créé l’ordre des chuchoteur ainsi qu’une équipe capable de s’adapté à toute les situations.  L’ultime équipe. Vous.
- Ouai sa on avait saisi. – commente Bill
- Enfin bref. Il y a de cela quatre heures j’ai reçu via le tuyau que vous voyez la bas un message. – Edward montre du doigt un tuyau qui part vers le plafond. – il provient de l’ordre des chuchoteurs. Je cite Markus Julius Brutus à assassiner l’empereur césar à l’aide d’une arme étrange qui crache du plomb. Il a monté une armée de gladiateur possédant des armes plus puissante encore demandons soutient imminent de l’ultime équipe.
- Notre renommé n’as donc plus de frontière ! -  s’exclame aria
- Assurément étrange lorsque l’on sait que nous n’avons rien fait pour l’instant – commente Kenji.
- L’ordre des préveneurs est au courant de votre existence peu importe l’époque. Vous êtes mentionné dans leurs tablettes sacrés.
- Pourquoi agir de suite si on peut aller n’importe où à n’importe quel moment ? – demande Sam
- En fait Joseph évolue dans le même espace-temps que nous et nous ne voulons pas qu’il déclenche plusieurs catastrophes à la foi. En effet les distorsions temporelles qu’il provoque ne sont pas minces comme le fait de vous ramener et d’exaucer un de vos souhaits. Elles fragilisent grandement le tissu espace-temps je mobilise mes propres force pour qu’il ne craque pas mais vous devez l’arrêter.
- Attendez. Il sait qu’il peut détruire le monde pourquoi votre frère continu ? demande Annie.
- Il se moque du sort du monde à présent. Seule sa gloire compte pour lui. Vous devez empêcher ce complot. Vous allez être amené à Rome, en été, année 45 av JC. Vous avez 198453 dixième de seconde pour vous préparer soit 5 heures 30 minutes 45 secondes et 3 dixièmes Annie a des choses à vous donner et vous pouvez prendre tout votre matériel d’ici-là. Vous partirez par la salle de transfert
- La salle de transfert ?
- La salle derrière moi par laquelle vous êtes arrivés. Vous pouvez disposer je vous attends ici en temps voulu.

La troupe se dirige vers le couloir et tous s’apprête à rejoindre leurs dimensions mais Annie les interromps.
- Hey les gars !
- Les gars et la fille.
- Si tu veux Aria. En attendant tous au labo j’ai des trucs pour vous.
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