Traversée infernale [PV : Kayako]

-Je...Je ne voulais pas que tu meurs, je...Non... Je te l'avais dit auparavant... On s'en sortira. Tous les deux.

Kayako voyait bien qu'il était encore effrayé, rien que d'en parler. Elle s'installa à ses côté et le serra dans ces bras:

" Je sais que sa à du être très dure... Mais tu es encore en vie, tu es là à mes côtés Ôtos. On s'en ai sorti, Je ne veux pas être un fardeau pour toi, tu n'es pas obligé de prendre des risque pour ma peau... Je suis une grande fille maintenant et je sais me défendre héhé.. C'est bizarre, n'importe qu'elle femme rêverait d'un homme comme toi , un homme qui risquerait sa vie pour elles... Moi je ne voudrais pas que l'homme que j'aime risque sa vie.... Si il devait mourir à ma place, qu'est-ce que je deviendrais ? Je ne voudrais pas rester seule.... Ôtos"

Elle essayait le plus possible de lui faire oublier cette enfer mais elle s'avait très bien aussi que sa ne se ferais pas comme sa . Il avait la tête baissé et ne disait plus un mot. Kayako pris son visage avec ces deux mains tout doucement pour qu'il la regarde. Elle le fixa un moment dans les yeux puis l'embrassa avant de dire :

" Tu vois ? Tu n'as plus rien à craindre, je suis là... Et tu es là aussi pour moi hm ?"

Kayako sourit, elle n'a pas pue retenir ces émotions. Elle recula brusquement la main sur sa bouche. Les larmes commencer à monter :

" Je suis désolé... Je ne... Je ne veux pas qu'on risque sa vie pour moi, Surtout pas toi Ôtos, Elle se leva brusquement les poings serré, Qu'est-ce que je ferais moi si tu crève bordel !? Je n'ai jamais été comme sa, d'habitude je m'enfou de tout le monde, je les tue moi même !! Mais toi... Toi je me suis attachée à toi !..."

La jeune femme s'écroula sur le sol et fonda en larmes:

" Je t'aime.... Je suis tombé amoureuse de toi...Ôtos...Je t'aime"

Ôtos vit la jeune femme s'écrouler par-terre, avant de lancer en sanglotant :

-Je t'aime.... Je suis tombé amoureuse de toi...Ôtos...Je t'aime

Ôtos se leva, rejoint Kayako avant de s'accroupir à ses côtés, et la serrer fort dans ses bras... Puis il souleva le visage de la jeune femme, avant de sécher ses larmes, croisant leur regard dans un silence immense... Puis Ôtos frôla les lèvres de la jeune femme en caressant le visage de celle-ci...

-Si tu savais à quel point j'ai des sentiments pour toi... Mais je ne peux pas m'empêcher de te voir souffrir, je veux te protéger... je tiens trop à toi pour que tu souffres ainsi. On est là maintenant... Et je ne compte pas t'abandonner, crois-moi...

Étrangement, tous ces mauvais souvenirs avaient été brouillés, il ne pensait qu'à elle.

-Ne pleurs plus... Je suis là maintenant... et je serai toujours là pour te soutenir, crois-moi...

En se relevant, Ôtos tend sa main vers Kayako en lançant :

- Viens avec moi...

En se relevant, Ôtos tend sa main vers Kayako en lançant :

- Viens avec moi...

La jeune femme pris la main de l'homme, et se releva tout doucement. Elle s'avait maintenant que lui aussi l'aimé et qu'il voudrait rester à ces côtés quoi qu'il arrive. Debout, Kayako sentit son coeur battre à la chamade. qu'est-ce qu'elle ressentait à se moment là. Mais La douleur de sa marque réapparu et Kayako poussa un long cri avant de s'agripper à Ôtos :

" Fichu...Marque, qu'est-ce que j'ai Bordel !"

Elle souleva la chemise, la marque c'était agravé . Comment l'avait-elle attrapée ?
La douleur ne rester pas tout le temps, au bout de quelque seconde sa s'était arrêté. Kayako baissa la chemise:

" C'est passé.. Cela me fais mal un instant ensuite plus rien..."

* Il a fallut que tu gâche ce moment, satané marque !*

Kayako s'installa sur le lit en prenant la main d'Ôtos pour qu'il l'accompagne. Elle s'avait qu'il pouvait faire quelque chose pour elle alors elle n'hésita pas. Elle s’allongea sur le lit :

" Tu veux bien... Y jeter un oeil de plus prêt.. J'ai pas envie de garder sa à vie !"

-Qu'est ce que c'est que cette marque...? ça me rappelle la Légende...Celle des symbiotes... Eux, qui ont une marque gravée sur une partie du corps, mais... Ce n'est pas possible... Ils ont disparu depuis la dissolution des Philanthropes il y a déjà des années !

Il se mit à réfléchir... Cette marque semblait particulière... Peut-être... Peut-être est-ce aussi dû à cette rencontre avec son père? Tant de choses se sont passées en si peu de temps que Ôtos ne savait pas d'où cela pouvait provenir, ni comment... Une chose est sûre, cette marque n'était pas une allergie quelconque.

*Quelque chose me dit que c'est tout autre chose...*

-Une potion de soin ne servirait pas à grand chose... Tu as déjà eu ça auparavant? Tu penses que ça pourrait provenir d'où..?

Ôtos plongea un morceau de tissu dans de l'eau froide avant de le poser sur sa trace. Le froid lui ferait peut-être du bien, qui sait? Il se mit à embrasser Kayako, comme pour la faire oublier, le temps d'un instant, sa douleur...

-Tu dois êtes fatiguée, Kayako... Repose-toi, la tâche s'en ira d'elle même, sinon...

Kayako attendait la fin de sa phrase, et Ôtos lança :

-On verra demain, de toute façon.

*J'espère que, d'ici-là, je trouverai une solution...*

-Tu dois êtes fatiguée, Kayako... Repose-toi, la tâche s'en ira d'elle même, sinon...

Kayako attendait la fin de sa phrase, et Ôtos lança :

-On verra demain, de toute façon.

Qu'est-ce qu'il voulait dire par " on verra sa demain" ? Ne savait-il pas si sa allait rester ou non ? Kayako ne posa plus de question sur cette marque. C'est vrai qu'elle était fatiguée mais se qu'elle voulait , c'est d'être aux côtés d'Ôtos:

" Tu devrais te reposer aussi, je pense que pour cette soirée nous devons oubliée se qui c'est passé là bas... Sa serais mieux pour nous..."

Elle se mit sur les genoux et se rapprocha de l'homme. il se sentit un peu gênée sur le moment de la voir comme sa. Kayako l'embrassa ,l'allongea sur le lit et se positionna au dessus de lui:

" Ôtos... Je.. reste près de moi"

Le regard de Kayako se plongea dans celui de l'homme, des rougeurs se montré sur ces joue, et quelques doux essoufflement sorti de sa bouche. Elle s'était mit dans une position asser embarrassante. Installer sur Ôtos qui lui est allongé, les jambes de Kayako tremblé un peu mais se n'était pas de la peur. Elle même ressentait de l'envie.

* Qu'est-ce qu'il m'arrive...Pourquoi soudainement je... Je fais sa ?*

Elle prit la main de l'homme et la posa sur sa poitrine, il pouvait ressentir ces battement de cœur...

Ôtos éprouvait de l'attirance pour elle, une attirance semblable à un désir. Quand il sentait le coeur de la jeune femme battre sous sa main, il comprit qu'il battait à la même allure que le sien : vite, très vite. Sans aucun bruit, Ôtos caressa le visage de la jeune femme, et du bout de ses doigts traçaient une ligne de feu sur le corps de celle-ci. L'embrassant tendrement, Ôtos sentit la chaleur du corps de Kayako contre le sien. Ils étaient bien, là, l'un et l'autre, ensemble... Entre deux soupirs, Ôtos lança :

-je ne partirai pas sans toi...

Ôtos n'avait plus qu'elle dans sa tête, rien qu'elle, uniquement elle.

*Kayako...*

Entre deux souffles étaient ponctués des baisers passionnels, les cheveux de la jeune femme caressa le visage de notre homme... Du bout des doigts il caresse les joues de la jeune femme, puis descendit doucement vers sont cou.

-Je t'aime...

Kayako se sentait étrangement bien, les caresses d' Ôtos la faisait frissonner. Peut être que sa première fois aller être avec Ôtos. Elle continua de l'embrasser tendrement, ces mains posé sur le torse de l'homme, elle continua de l'embrasser encore et encore...

*Je me sens bizarre... qu'est-ce qui se passe ?...*

La jeune femme avait envie de serrer ces jambes mais elle ne pouvait pas Ôtos était juste en dessous.L'homme sentit les jambes de Kayako lui serrait. Il prit la jeune femme et se positionna au dessus d'elle.

" Je...Ne sais pas... Comment mis prendre..."

*Qu.. C'est quoi !?....entre mes jambes je... Non il ne faut pas qu'il remarque sa...j'ai honte..*

La jeune femme ferma les yeux un instant, L'envie lui monter mais comment allait-elle s-y prendre?..

-Je...Ne sais pas... Comment m'y prendre...
-Ne t'inquiète pas...Juste... Sois bien...

Ôtos sentit alors la main de Kayako caresser son corps. Il se sentait si bien...

-Embrasse-moi...

Il caressa le corps de la jeune femme, descendant de plus en plus bas, jusqu'à ce que la jeune femme poussa un long soupire de plaisir... Puis leur désirs ne formaient plus qu'un, tout comme leur corps, un mélange de passion, de tendresse et d'un amour sincère... Leurs souffles étaient une mélodie continue qui ne cessait de croitre au fur et à mesure... Tous deux prenaient du plaisir, c'était un moment intime si fort... Ôtos mordilla sa lèvre inférieure, et serra fort la jeune femme dans ses bras, entendant ses souffles près de son oreille... Si un jour Ôtos aurait cru qu'il serait aussi fou d'une personne, et qu'il aurait fait l'amour à une belle jeune femme après des évènements dramatiques qu'étaient, par exemple, Douamon, il ne l'aurait jamais cru... Mais Ôtos ne pensait à rien : il appréciait, profitait de cet instant si intime avec la belle.

C'était un moment magique pour Kayako, Elle aurait tellement que ce moment dure encore et encore...

Le lendemain matin, la jeune femme et Ôtos était l'un à côté de l'autre. Kayako était réveillée depuis un bon petit moment, elle observa avec tendresse la personne juste à côté d'elle. Elle repensa au moment magique d'hier passé avec l'homme qu'elle aime tant. Malgré des moments difficiles passé, le plus beau s'était passé hier mais n'a pas duré.. La jeune femme caressa le visage d'Ôtos avant d'aller enfiler quelque chose pour descendre.

Une fois dans les escaliers, elle surpris une conversation , se devait être le médecin avec quelqu'un d'autre. Kayako préféra visité l'étage que de descendre. Il y avait une autre pièce, sa ressemblait à une salle de soin mais étrangement sale... Cela m’entonnerait qu'il utilise cette pièce pour soigner les patients. Soudain la douleur de la marque réapparu, mais cette fois elle avait grandi et la douleurs était plus forte.

* J'ai.. mal..*

Elle s'écroula en perdant connaissance..

-Ôtos... Prends le stabilizeur et installe-le.
-Ok.
-Hé ben, qu'est ce qu'il y a? Un coup de mou?
-Sûrement. ça va faire deux semaines que je n'ai pas vraiment dormi...
-Allez t'inquiète, tiens le coup !
-Comment tu fais pour tenir aussi longtemps, Louis?
-haha, j'ai ma botte secrète !

...

-Ôtos ! ÔTOS ! Lève toi !
-Qu'est ce qui se passe, Louis... Pourquoi tu me réveilles...
-PaRcE QuE Je MeUrS...

Ôtos sursauta. Trempé de sueur, il se leva d'un seul mouvement et regarda autour de lui. Ses sens sont mis en alerte. La première chose qu'il remarqua fut la disparition de Kayako. Ôtos se croyait encore à Douamon, il paniqua et sortit de la chambre avant de regarder des deux côtés du couloir : il aperçut une porte entrouverte à sa droite. En s'y approchant, il écarquilla ses yeux et courut vers Kayako qui était à terre.

-Kayako ! Réveille-toi ! Bon sang...

Son premier réflex fut de prendre son pouls. Il battait tranquillement. Rassuré, il aperçut alors ces marques présentes sur son corps.

*est-ce la raison de sa perte de conscience?*

Il porta la jeune femme dans ses bras, rejoignit sa chambre et l'allongea sur le lit, avant de claquer la porte d'un coup de pied et de récupérer un morceau de tissu en le trempant et de le poser délicatement sur le front de la jeune demoiselle. Il ne bougea pas d'un pouce, allongé à ses côtés, il ne cessa de caresser son visage qui semblait reposé, réfléchissant à toute allure pour étudier un quelconque remède sur ces foutues traces...

*Je t'en pris Kayako... Réveille-toi...*

La jeune femme ne se sentait pas bien, la marque qu'elle porter sur sont corps grandisses de plus en plus, On voyait sur son visage qu'elle souffrait, des goûte de sueur couler.

En entendant la porte claqué le médecin se précipita à rejoindre Ôtos. En ouvrant la porte il vit Kayako allongée très mal en point et les marques qui avait sur son corps:

- Que... Comment a t-elle attrapé sa ?

Mais avant qu' Ôtos ne lui réponde, la jeune femme se mit à tousser brusquement , du sang sortit de sa bouche.

Le médecin s'installa à ces côtés et releva sa tête:

- Il faut la soigner mais il peut y avoir des risques... Ce n'est pas la première à qui je vois cette marque ... mais ...

-Mais quoi bon sang?! hurla Ôtos

Il en était malade de voir Kayako ainsi. Il essayait tant bien que mal de la défendre face à l'ennemi, mais cette fois-ci le mal était en elle.

-Laissez-moi avec elle, il faut que je me concentre, ordonna le octeur.

Notre homme ne réfléchit pas, il posa ses lèvres sur le front de la jeune femme et sortit de la sale, en lançant par-dessus lui :

-prenez soin d'elle....

à force de faire les 400 pas, Ôtos sentit une sensation d'étouffement. Il fallait qu'il sorte de là, qu'il prenne l'air. Il resta néanmoins devant la maison, mains dans les poches. Il ne savait que faire d'autre. Soudain il sentit un objet frais. Il le sortant de sa poche, il se souvint de cette trouvaille faite à Douamon, cette seringue. Qu'étais-ce? Ce n'était ni de l'éther, ni du sang d'une quelconque créature. La couleur bleutée tournoyait dans le petit conteneur, et il sentit la seringue vibrer sous ses doigts. Qu'étais-ce? Dans tout les cas, cette chose était gardée profondément dans une base militaire, et c'était pour une bonne raison.

"Quelque chose me dit que j'ai trouvé quelque chose dont je n'étais pas sensé avoir vu..."

Il rangea la seringue dans sa poche et regarda l'horizon : Douamon s'étendait au loin. Il se souvint alors de ce qu'avait dit Kayako. Son père la recherchait. Étant encore proche de l'endroit où celui-ci trainait, Ôtos conclut qu'il ne fallait pas rester plus longtemps ici. Il pénétra dans la maison, tête baissé, et repensa à l'état de Kayako. Qu'avait-elle? Pourquoi elle? pourquoi... Ces traces..?

L'homme sorti d'un air inquiet. Le docteur avança vers la porte pour voir si l'homme était bien parti, puis il ferma la porte à clé.

- Bon nous serons tranquille pour un moment jeune fille maintenant. Il peut vraiment croire n'importe quoi celui là. Oh mais tu es consciente on dirait !

Kayako essoufflé , regarda l'homme. Elle avait tout entendu mais n'avait plus de force pour se défendre:

" Espèce.... d'ordure.. je.."

La douleur repris le dessus , elle ne pouvait dire un mot de plus. Le docteur avança vers elle et s'installa à ces côté avant de caresser son visage:

- Pauvre enfant, c'est bien dommage que tu ne puisse pas te défendre. Regarde cette cicatrice, elle va grossir, grossir et encore grossir jusque sa prenne le contrôle de ton corps haha ! Mais une personne que tu connais bien avec qui j'ai discuté la dernière fois que j'étais parti à besoin de toi donc faut disparaître comme sa... de toute façon seule un remède qui à disparu depuis bien longtemps maintenant te soignerais

" ..."

- Mais j'ai largement le temps... Si je jouais un peu avec toi , tu as l'air d'être appétissante sous cette petite chemise... je vais y jeter un coup d'oeil !

Kayako ne pouvant pas se défendre essaya de crier. Il avait déja déboutonné sa chemise elle prit un grand souffle et cria :

" NON ÔTOS ...!"

Il se rongeait les ongles. Il ne savait pas quoi faire, alors il était revenu au niveau du couloir, s'adossant contre le mur et bouffant la peau de ses doigts, sans se rendre compte qu'il s'était rongé jusqu'au sang. Soudain, il entendit un bruit étouffé, suivit d'un cri.

-NON ÔTOS ...!

D'un seul mouvement, notre homme bondit et se mit en mouvement. Il ne chercha pas à savoir si la porte était fermée ou non, il défonça la porte d'un coup d'épaule et sentit celui-ci craquer sous l'impact. Il s'était déboîté l'épaule. Tombant par-terre, il se releva et vit la jeune femme allongée, la chemise fermée uniquement par un seul bouton, le docteur sur elle. D'un excès de rage, il se releva et bouscula le monstre en le plaquant contre le mur. Ôtos vit quelque chose briller. Il retint la main de l'ennemi. Il tenait un couteau.

-Kayako ! Fuit !

Il ne savait pas qu'elle manquait de force pour continuer, et il senti une puissante force le pousser : le docteur le bouscula contre un mur, et notre homme évita de peu le coup de couteau en se baissant, puis il le ceintura et continua à le pousser. Bris de verre. Notre homme bascula en avant. Il avait brisé la fenêtre du premier étage, entrainant avec lui le docteur.

" NON ÔTOS ...!"

Le médecin se mit sur elle en lui bloquant la bouche mai à ce moment là l'homme que Kayako avait interpellé, faisait son apparition. Celui-ci avait défoncé la porte. Il se releva voyant l'autre homme sur la femme. Ôtos bouscula le Docteur en le plaquant contre le mur. Ôtos vit quelque chose briller. Il retint la main de l'ennemi. Il tenait un couteau.

-Kayako ! Fuit !

La jeune fille essaya de se relever mais elle avait encore bien du mal. Elle observa les deux hommes sans dire un mots, elle n'avait pas la force de répondre.

- Haha pauvre idiot, Tu ne sais même pas se qu'elle ai !

le docteur le bouscula contre un mur, et notre homme évita de peu le coup de couteau en se baissant, puis il le ceintura et continua à le pousser. Bris de verre. Notre homme bascula en avant. Il avait brisé la fenêtre du premier étage, entraînant avec lui le docteur.

* Noon... Ôtos !*

Kayako inquiète se pressa de descendre mais affaiblie elle tomba et continua de ramper jusqu'à la sorti. * Pourvu... qu'il n'est rien*

En dehors, le médecin avait du mal à se relever. Ne voyant pas Ôtos, il essaya de prendre la fuite mais celui-ci se fait attraper brutalement et re-plaquer au sol. Ne pouvant pas plus se défendre, il se mit à rire :

- Hahahaha... Tu défends ta copine mais tu sais même pas se qu'elle ai ! Comment compte tu la soignais ? Tu sais au moins ce qui ne faut pas faire pour qu'elle crève !? C'est un monstre !

- Hahahaha... Tu défends ta copine mais tu sais même pas se qu'elle est ! Comment comptes-tu la soigner ? Tu sais au moins ce qui ne faut pas faire pour qu'elle crève !? C'est un monstre !
-Je sais déjà à qui en parler raclure, lança Ôtos, un pied sur le ventre du docteur, mais d'abord...

Ôtos se rapprocha et brisa le genou de son ennemi d'un coup de pied, qui hurla de douleur alors.

-Vas-y ! Tue-moi ! Mais ça ne t’apportera rien !
-Je ne vais pas te tuer.
-Alors tu devrais savoir que je ne te dirai rien.

Ôtos ne lança rien en retour. Il regarda Kayako qui, par-terre, regardait de ses yeux brillants notre homme, quand il soupira.
-Kayako. Retourne dans la maison, repose-toi. Je dois parler avec le docteur.

Il n'attendit pas de réponse de la part de la jeune femme, et traina le docteur par le col avant de le jeter dans la trappe ouverte menant à la cave. Avant d'entrer à son tour dans la cave, il récupéra une clé à molette... La journée passa vite. Bientôt le soleil allait se coucher à l'horizon... Lorsqu'Ôtos rejoignit Kayako, elle était allongée, les yeux fermés. Ôtos lança alors, d'une voix sombre :

-je sais que tu ne dors pas, Kayako...

Il se retourna alors vers Ôtos, il s'agenouilla vers elle et lui lança droit dans les yeux :

-Peu m'importe ce que tu es. Il dit que tu es un monstre, mais en fin de compte, nous sommes tous des monstres, des créatures sur cette planète... Mais je sais que tu dois d'abord être soignée. Je te l'ai dit. Je ne t'abandonnerai pas.

Elle semblait vraiment épuisée, Ôtos imaginait qu'un simplement clignement d’œil userait ce qui restait de ses force... Il ne savait pas si elle avait écouté aux portes ou pas, une chose est sûre, il fallait retrouver un remède et vite.

-je sais que tu ne dors pas, Kayako...

Il se retourna alors vers Ôtos, il s'agenouilla vers elle et lui lança droit dans les yeux :

-Peu m'importe ce que tu es. Il dit que tu es un monstre, mais en fin de compte, nous sommes tous des monstres, des créatures sur cette planète... Mais je sais que tu dois d'abord être soignée. Je te l'ai dit. Je ne t'abandonnerai pas.

"Ôtos... Je pense savoir de quoi il parle..."

La jeune femme tourna la tête dans une autre direction et continua :

" Il m'a raconté quelque chose, je n'ai pas voulu le croire mais maintenant que j'y pense... Je suis une demi-démone. Cette marque à un rapport avec moi. Il m'a dit qu'il a déja eu une personne comme moi tu te rappelle ? Eh bien cette personne était ma.... Mère."

Kayako se redressa tout doucement et regarda Ôtos de nouveau:

" Je n'ai jamais su comment ma mère était morte, c'est mon père qui l'a tué car elle avait accouché de moi. La marque l'avait totalement contrôlé et après ma naissance si il ne l'aurait pas tué... Elle serait transformé en Démon... Si je devais donner naissance... tout se passerais exactement pareil je pense que c'est pour sa que mon père veut me tuer, car je suis un démon au font de moi.... Mais il y a effectivement un remède mais il ne m'en a pas dit plus.... Cette homme est de mèche avec mon père.."

Kayako serra les points avant de se relever et ajouta :

" Ôtos, j'ai confiance en toi, je sais que malgré que je ne sois pas.... parfaite.... tu es là "

-Ôtos, j'ai confiance en toi, je sais que malgré que je ne sois pas.... parfaite.... tu es là.

Ôtos souri et lança :

-Personne n'est parfait, et si quelqu'un l'était vraiment... Ce serait chiant d'y vivre avec.

à travers son sourire, Ôtos était en faite totalement désemparé. Comment la soigner? Quel était ce remède? Comment le fabriquer?

*Il semblerait que le Doc ne sache pas, sinon il aurait craché le morceau, vu tout ce qu'il a subit...*

Notre homme caressa doucement les cheveux de la jeune femme et posa sa main sur son front. Elle était brûlante. Bizarrement, Ôtos pensa à la seringue qu'il avait trouvé dans les sous-sols de Douamon. Quelque chose lui disait que la vérité se trouverait dans cette base secrète et que la clé de l'énigme se trouverait dans cette seringue...

*Il est trop tôt pour conclure sur quoi que ce soit...*

-Tous les gens autour de toi meurent... Comme un maudit... Marmonna Ôtos en regardant par la fenêtre l'horizon.
-Ôtos?
-...Il faut qu'on retourne à Douamon. C'est trop dangereux de rester ici...

-Tous les gens autour de toi meurent... Comme un maudit... Marmonna Ôtos en regardant par la fenêtre l'horizon.
-Ôtos?
-...Il faut qu'on retourne à Douamon. C'est trop dangereux de rester ici...

Kayako prit la couverture autour d'elle et se dirigea vers la porte :

" C'est pas trop tôt j'en avait marre de rester ici ! Je vais voir si il n'y a pas de vêtement de femme quelque part "

* Je sais que je n'ai pas encore repris mes forces... mais Je veux qu'on dégage de là !*

La jeune femme lança un dernier sourire à Ôtos avant de franchir la porte. Elle passa devant la porte des opérations sans y jeter un seule regard. Elle descendait les escaliers comme si ne rien n'était. Arrivé en bas regarda tout autour d'elle avant de rentrer dans une pièce. Celle-ci n'était pas très bien éclairé. Kayako alluma la lumière. Surprise elle resta immobile un moment.
* Cette pièce... Pourquoi une chambre de bébé ?*

Elle vit une armoire entre ouverte avec plein de vêtement de femme, de différente style... Kayako choisi la tenue qui lui ressemblé le mieux. Un corset noirs avec des petits nœuds derrière et une longue robe noir mais elle le déchira pour qu'elle soit plus a l'aise en marchant.

* Je me demande à qui tout ces vêtements à aurait pu être ?*

Ôtos, toujours à veiller au loin, pensa fort à la situation actuelle, à Kayako. Son état empirait, cela se voyait. Qu'était-ce? Qu'est ce que le mal? Pourquoi cette..."Maladie" la ronge-t-elle? Pourquoi elle? Il fronça les sourcils lorsqu'il aperçut alors des nuages s'élever... Des nuages marrons, qui ne cessaient de grandir...

*Attends.... Ce ne sont pas des nuages...*

-Kayako... Kayako ! On dégage !

Ce n'est pas arrivé depuis bien longtemps dans ce secteur, mais les tempêtes de sables à Ibis étaient mortelles. Le sable était si fin qu'il pénétrait à travers chaque grain de peau jusqu'en remplir les poumons et asphyxier la pauvre victime. Le seul moyen était de fuir. Cette maison ne ferait pas l'affaire face à cette tempête grondant au loin. Kayako rejoignit assez vite Ôtos, qui l'ordonna de rejoindre le véhicule. Celui-ci était ouvert, mais il n'y avait pas les clés, au grand regret d'Ôtos.

-Je reviens, je vais chercher les clés, lança notre homme en revenant à la maison.

En passant par l'entrée arrière, il remarqua que le corps du docteur avait disparu. Quelque chose ne tournait pas en rond. Il pénétra dans la maison, quand, après mainte recherches dans chaque salles, il vit les clés dans la cuisine, sur une table. Il s'empressa de pénétrer dans la pièce sans se rendre compte que le Docteur l'attendait derrière la porte, un vase en main. Le fracas du verre survint. Ôtos s'écroula à quatre pattes. Le vase s'est explosé contre l'arrière de son crâne.

-On ne joue pas avec moi. Il va venir d'ici peu.
-i...Il?
-Celui qui doit se charger de l'autre. En attendant, je vais bien m'amuser avec toi...

Il sortit de sa poche un scalpel. Ôtos, encore désorienté, rampa vers la table, et essaya de se lever. Un violent coup de pied au niveau de ses côtes lui fit tomber par-terre, renversant du coup la table et de tous les contenus. les bols s'éclatèrent sur le sol et explosèrent en de multiples fragments, les clés tombèrent non loin d'Ôtos. il se mit à ramper, quant le docteur l'empêcha d'aller plus loin. Le sol commença à trembler. La tempête n'était plus très loin. Quand Ôtos se retourna, il n'hésita pas et planta un morceau d'un bol éclaté dans la gorge du docteur, qui 'écroula par-terre et gesticula alors. Ôtos en profita pour récupérer les clés et tituba vers la voiture. Du coin de l’œil il aperçut alors la tempête s'approcher à grande pas vers sa position. Ce n'était qu'une affaire de secondes. Il pénétra dans le véhicule, quand Kayako lança :

-Ôtos, tu...Saignes?
-Longue histoire, on dégage !

Notre homme démarra le fourgon et écrasa la pédale de l'accélérateur.

» Quelqu'un veut RP avec Kayako ?

Traversée infernale [PV : Kayako]

Traversée infernale [PV : Kayako]

Sujets similaires

Sujets similaires